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e Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de la
création
du monde. 6. S’il est vrai, comme l’a montré M. Spaïer, que toute pe
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blement, n’existent pas. Elles font partie de ces
créations
pseudo-mystiques qui pullulent dans un monde athée. Quelle que soit d
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apitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs
créations
politiques (nationalisme, SDN, etc.), condamnation de l’individu, de
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Le Deuxième Jour de la
Création
, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)n Ce titre curieusement bibliq
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communion humaine. n. « Le Deuxième Jour de la
Création
, par Ilya Ehrenbourg », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 243, d
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solutions d’urgence ; coutume et loi abstraite ;
création
et automatisme ; libéralisme et discipline ; fédéralisme et étatisme
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ment de tous les êtres, le branle-bas de toute la
création
vers son achèvement intelligible, c’est là vraiment « poétiser », col
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re qu’il s’isole et s’abstrait du mouvement de la
Création
. « Et c’est pourquoi une fin lui fut en effet donnée » — qui est sa m
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disjoint et altéré. « Car l’attente ardente de la
création
attend la révélation des enfants de Dieu, parce que ce n’est pas de s
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esprit qui le remue ». Penser dans le train de la
création
, reformer sans cesse toutes les formes selon l’intention qu’elles exp
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l’Apôtre nous fait entendre ce soupir de toute la
Création
vers la révélation des « enfants de lumière », et la restauration de
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Boderie et de tant d’autres, cet inventaire de la
Création
embrassant tous les arts et les métiers humains, de la magie cérémoni
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es allemands, à partir de Hamann et de Herder. La
création
entière, disait Hamann, est « un discours adressé à la créature au mo
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ation ramuzienne. Rien de plus « Suisse » que ces
créations
spontanées, comme accidentelles, de centres européens dans un canton
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fin des ouvrages de Dieu, c’est-à-dire depuis la
création
de l’homme, il ne s’est écoulé que six ou huit-mille ans. » Cuvier pa
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il sans rêves — leur idée du bonheur — entre deux
Créations
totalement insensées. Si les saints de l’Occident ont raison, ils ser
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est dans la matière que nous cherchons le Soi. La
création
tout entière, « soumise à la vanité » mais travaillée par « un ardent