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elle s’oppose à l’exploitation de l’homme par ses
créations
, par l’État et par les bavards. Elle refuse la dictature, parce que l
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ber ? J’ai essayé de vous montrer qu’ils sont des
créations
de l’homme, et particulièrement de ce personnage égoïste et, en somme
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la nécessité. L’esprit est d’abord jeu, liberté,
création
imprévue. Mais cette évasion hors du déterminisme, la dialectique hég
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ologique. Des hommes, incapables d’actualiser une
création
, c’est-à-dire incapables de concevoir un spirituel véritable. Seule u
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rtain aménagement des activités, de la durée, des
créations
humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel
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doles. Quelles sont donc nos idoles ? Ce sont les
créations
de nos désirs divinisés, ce sont les dieux que nous nous fabriquons a
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ersonne et des églises, ainsi que toute espèce de
création
spirituelle. Le véritable malheur du fascisme, c’est d’avoir voulu ét
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blement, n’existent pas. Elles font partie de ces
créations
pseudo-mystiques qui pullulent dans un monde athée. Quelle que soit d
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apitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs
créations
politiques, condamnation de l’individu, de la « pensée » bourgeoise (
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imposé par l’État détend tous les ressorts de la
création
personnelle ? S’il n’y a plus d’élite ? Il n’y aura plus personne pou
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la construction des voies de communication, ou la
création
d’innombrables industries, accessoires de celle de l’automobile. 75.
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icace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la
création
, un travail sans loisir, sans liberté, laisse s’étendre l’empire de l
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es les loisirs que ses ancêtres consacraient à la
création
de leur puissance, du même coup elle décrète « forcé » le travail des
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e but du travail, ce n’est pas le loisir, mais la
création
. Et le but du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la création. N
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ut du loisir, ce n’est pas la jouissance, mais la
création
. Nous n’avons pas le goût du vide. Par cet acte, travail et loisir re
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dans une activité qui est la négation même de la
création
; activité purement « nécessitée » par la révolte de 1917, qui décrét
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llectuels du Front populaire. On attend d’elle la
création
d’un « homme nouveau », d’une humanité riche, heureuse, orgueilleuse
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ée. Cette distinction conduit nécessairement à la
création
d’une caste de politiciens, permettant à la majorité des citoyens de
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n but nouveau. Cette double activité aboutit à la
création
de l’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun. Elle im
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nisation devant être normalement subordonnée à la
création
. Il résulte de cette définition de la politique que tout homme, dans
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’autre part, il ne peut créer dans le vide, et sa
création
, quelle qu’elle soit, se répercute et prend toute sa valeur dans le d
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ples, de ce qui est organisation et de ce qui est
création
; et à subordonner à tous les étages les moyens aux fins, les outils
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lité sociale de la personne, sont bel et bien des
créations
chrétiennes ou, pour mieux dire, des créations de l’Église chrétienne
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es créations chrétiennes ou, pour mieux dire, des
créations
de l’Église chrétienne. Voici donc définis par leurs origines, et dan