1 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
1 lus profond, le plus sacré, qui est le pouvoir de création que l’on possède, c’est naturel, mais non qu’on en ait honte, semble-
2 e de L’Ombre, c’est le symbole de la puissance de création qui vient à se détacher de l’auteur pour prendre corps dans l’œuvre p
2 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
3 d’assurer la vie du plus grand nombre contre les créations catastrophiques des Héros ou des grands Névrosés. Un doute règne sur
4 ente et bienheureuse du mot sacrement de toute la création , son terme monumental à la gloire du Dieu Tout-Puissant, — l’Amen du