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ine qu’elle suppose, et qui a rendu possibles ses
créations
les plus typiques. Cette attitude se distingue de celles qui ont prod
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sentes, par une inquiétude fondamentale et par la
création
de risques toujours accrus, remettant sans cesse en question les cert
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cide d’imiter Dieu le Créateur en œuvrant dans Sa
création
: voie de l’obéissance active dans l’ombre de la foi. Le danger que c
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ps à l’action efficace, afin de mieux pénétrer la
Création
et d’en maîtriser le principe. « D’autant plus nous connaissons les c
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hair et de la matière, et par là même de toute la
Création
, telle qu’elle attend de nous « dans une attente ardente », d’être ai
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it par soi, l’autre dans ses relations. L’acte de
création
des grands conciles consista donc à opérer la transmutation périlleus
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dans le divers qu’est la musique, cette plus pure
création
de l’Europe. Elle agit sur la Renaissance, qui sans elle eût perdu la
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fin des ouvrages de Dieu, c’est-à-dire depuis la
création
de l’homme, il ne s’est écoulé que six ou huit-mille ans. » Cuvier pa
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sa lettre aux Romains, saint Paul révèle que « la
création
tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement » et qu
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r, de la matière et de la vie naturelle, règne et
création
du Démiurge. D’où l’ascétisme, le monachisme, l’angélisme, qui mépris
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à-dire pour des formes nouvelles de travail et de
création
? La tâche présente me paraît donc bien moins de mettre un frein mora