1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 ine qu’elle suppose, et qui a rendu possibles ses créations les plus typiques. Cette attitude se distingue de celles qui ont prod
2 sentes, par une inquiétude fondamentale et par la création de risques toujours accrus, remettant sans cesse en question les cert
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
3 cide d’imiter Dieu le Créateur en œuvrant dans Sa création  : voie de l’obéissance active dans l’ombre de la foi. Le danger que c
4 ps à l’action efficace, afin de mieux pénétrer la Création et d’en maîtriser le principe. « D’autant plus nous connaissons les c
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
5 hair et de la matière, et par là même de toute la Création , telle qu’elle attend de nous « dans une attente ardente », d’être ai
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
6 it par soi, l’autre dans ses relations. L’acte de création des grands conciles consista donc à opérer la transmutation périlleus
7 dans le divers qu’est la musique, cette plus pure création de l’Europe. Elle agit sur la Renaissance, qui sans elle eût perdu la
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
8 fin des ouvrages de Dieu, c’est-à-dire depuis la création de l’homme, il ne s’est écoulé que six ou huit-mille ans. » Cuvier pa
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
9 sa lettre aux Romains, saint Paul révèle que « la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement » et qu
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
10 r, de la matière et de la vie naturelle, règne et création du Démiurge. D’où l’ascétisme, le monachisme, l’angélisme, qui mépris
11 à-dire pour des formes nouvelles de travail et de création  ? La tâche présente me paraît donc bien moins de mettre un frein mora