1 n, Faust, Hamlet et Don Juan sont bel et bien les créations imaginaires d’un Béroul, d’un Marlowe, d’un Shakespeare et d’un Tirso

2 riginal, fortement personnalisé, étant souvent sa création la plus totale et continue.) Certains mythes, c’est par eux ou contre

3 lle réinvente la structure du drame comme par une création de logique intrépide. Elle nous impose, par la vertu d’une cohérence

4 sonnage le rôle exact de Lucifer par rapport à la Création , dans la doctrine manichéenne : c’est lui qui a donné sa figure au Bu

5 t très conscient ? Il en a tiré le meilleur de sa création littéraire, il l’a subie comme une « écharde dans la chair », elle a

6 il sans rêves — leur idée du bonheur — entre deux Créations totalement insensées. Si les saints de l’Occident ont raison, ils ser

7 pinoza, d’autant plus nous connaissons Dieu. » La création tout entière, « soumise à la vanité » mais travaillée par « un ardent

8 Les degrés d’existence de l’amour sont ceux de la création à l’œuvre, sans laquelle le néant ne serait pas conçu, ni l’être. L’a