1 e qui va suivre et qui procède d’un parti pris de création dont j’espère bien que le lecteur éprouvera çà et là la poussée, le c

2 ersonnage de Claudel). Du nouveau qui ne soit pas création absolue et imprévisible, mais développement rationnel de l’acquis : e

3 ater le déficit que représente pour la culture la création de ces grandes zones d’échanges incontrôlés. Ces échanges en effet ab

4 a part active que prend l’homme à tout ce qui est création dans la nature, dans l’histoire, dans la vie de l’esprit ? 35. Les

5 sent-ils à animer toutes les facultés humaines de création , d’espérance, d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplin

6 emple : les disciplines imposées par le Plan à la création artistique sont-elles vraiment des disciplines fécondes, ou au contra

7 e. Mais elle est réfutée dans son principe par la création culturelle, dès lors que cette création vint s’« insérer de l’extérie

8 pe par la création culturelle, dès lors que cette création vint s’« insérer de l’extérieur » ; en dépit de la Force des Choses ;

9 ne sont guère qu’une sorte de spéculation sur les créations futures. L’intéressant, l’extraordinaire ici, c’est de voir à quel po

10 tes des deux ordres de travail, davantage qu’à la création d’une attitude centrale d’où la pensée et la main apparaissent organi

11 Mais il est totalement impuissant à provoquer la création , et à la régler, étant de par son origine coupé des sources mêmes de

12 par son origine coupé des sources mêmes de toute création culturelle : la personne, l’aventure personnelle, la liberté et le ri

13 ance collectiviste qui veut que la culture, cette création , naisse spontanément d’un état matériel ou politique acquis au prix d

14 lut, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communauté libre. Notre chance est dans l’invention, et non dan

15 s ne marquons pas notre avance historique par des créations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, nous serons colonisé

16 d’opérer cette synthèse concrète qui résoudra en création toujours nouvelle le vieux conflit de l’individu et de la masse. 6° L

17 ait aux aides mécaniques par lesquelles l’acte de création spirituelle peut s’insérer dans le donné, s’assurer une vitesse de ch

18 imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité aux créations coupables de contredire l’histoire telle que la veut la Troisième Rép

19 ’autres. La pensée prolétarisée ne vit pas de ses créations — elle ne crée pas —, mais elle reflète des processus d’évolution, qu

20 te et surtout hégélo-marxiste, est en réalité une création antihistorique (corrigée chez Marx par son empirisme, sa passion polé

21 transcendant. Il n’y a de problème réel que de la création et de la fin, c’est-à-dire des extrêmes. Quant aux moyennes, elles so

22 assumer les conflits vitaux et de les résoudre en création . Voilà la grande opposition d’où nous partons. Il ne suffit pas de la

23 altération qui rend toute chose autre sans nulle création . Dégradation, de degredi, — éloignement. Et que me font alors ces cou

24 ée en tant que telle n’est jamais séparable de sa création , qui la sanctionne au double sens du mot. Les clercs défendent et déf

25 s, des ingénieurs ou des politiciens parlent de «  créations  ».) On s’imagine que la révolution doit apporter de l’inédit, du jama

26 , des lois qui ne sont en fait que les résidus de créations anciennes. L’esprit s’y engage à sa suite, persuadé qu’il pense le ré

27 ’origine et la fin de toute incarnation, de toute création , de tout risque. La personne est aussi, par conséquent, l’individu mo

28 ’il s’agisse du commandement des armées, ou de la création géniale. L’autorité appartient à l’esprit, en tant qu’il entre en for

29 ctes que nous osons faire nous apparaît comme une création absolue. Chacune de nos victoires est une nouveauté absolue dans les

30 ompris — car il n’est pas de pensée innocente, de création sans sacrifice, d’incarnation sans doutes parfois torturants. Pour le