1 introduits par quelques précautions verbales, qui créent une atmosphère ou orientent l’esprit. La rhétorique américaine écarte

2 et l’activité quotidienne. Condamnez-les et vous créerez une sécheresse générale, nécessairement suivie d’une rupture de digue

3 les objets soient remis au service de l’homme qui crée et qui se veut responsable ? Si nous choisissons la seconde voie, la

4 obile du travailleur, et la masse de main-d’œuvre créée par le service civil serait mise par l’État à la disposition des libr

5 s intérêt à paralyser l’invention, puisqu’elle ne créerait plus de chômage technologique. Les industriels hochèrent la tête. Ils

6 ique où la féerie cède à l’observation, la vérité créée , aux données vraisemblables. À cet instant naît le roman moderne. À p

7 utait par la formule « Il y avait une fois… », il créait aussitôt chez l’auditeur un état très particulier de réceptivité et d

8 oduction et de sortie3, le romancier moderne veut créer l’illusion du réel quotidien. Pourtant il ne dispose que de mots, quo

9 e penseur, et transformatrice du réel. « Là où je crée , là je suis vrai », écrivait Rilke. Et c’est pourquoi nous prendrons

10 eillissent de notre esprit. Il y a des hommes qui créent , d’autres qui enregistrent : il ne faudra plus les confondre. Il y a

11 cle, en tenant compte des réalités que nous avons créées ou laissé s’imposer ; de la rapidité des transports, par exemple. Com

12 tage, de la description. Ils ont indiscutablement créé le style du grand reportage. Je connais quelques jeunes poètes, pas d

13 les guerres… Mais je vois que ce mot de nation a créé entre nous une équivoque. Il a deux sens bien différents. Je n’ai par

14 que les Français cesseront de parler français, de créer leur culture, et d’habiter paisiblement leur terre, si la France reno

15 pproche insondablement de Celui qui d’un choix me créa . » (Nous fûmes tous saisis d’un vertige à ce discours d’une furieuse