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ne nouvelle, au lieu de libérer les travailleurs,
crée
du chômage8. Et, cependant, les peuples de toute la terre continuent
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e nous réfugier derrière des complexités que nous
créons
à plaisir, qui ne sont pas dans la situation et qui sont autant de pr
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descend du singe, les autres croient qu’il a été
créé
par Dieu. Ils se disputent énormément. J’estime qu’ils ont tort de se
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ent une race à part, à côté de la race des hommes
créés
par Dieu, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été créés par Die
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eu, et qui, eux, croient et savent qu’ils ont été
créés
par Dieu. Cette petite histoire ne s’applique pas seulement aux part
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ois de l’évolution. Le lieu de toute décision qui
crée
, c’est la personne. Et votre rôle d’étudiants, c’est-à-dire d’intelle
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siècles peut-être, à un homme nouveau capable de
créer
un « spirituel » également rénové. C’était là, très exactement, comme
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ait pas de la liberté avec de la nécessité, on ne
crée
pas des personnes par le moyen des dictatures, pas plus qu’on ne fait
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ion et de réaction. Elles modèlent l’homme, elles
créent
des habitudes de pensée et de vie entièrement soumise aux lois du nom
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iser ces oppositions naturelles ; bien plus, elle
crée
des conflits là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surto
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ssentielle ? Il semble que la solidarité du péril
crée
en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité d
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x. Or ces égaux n’existaient pas. Il fallait les
créer
. L’égalité, ce fut en fait l’égalisation à tout prix. À la fois pour
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dre policier de l’État, par l’ambiance morale que
créent
la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui ap
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tre particulière. Mais dès qu’il la manifeste, il
crée
une nouveauté, c’est-à-dire un risque. Et toute sa dignité consiste à
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e soit prêchée à l’école comme une valeur morale,
crée
un abîme entre la vie privée et la vie publique.
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lles entravent le cours habituel de la vie. Elles
créent
une aigreur permanente, surtout sensible dans la petite bourgeoisie.
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nouveau et qui prouve qu’elle est en train de se
créer
un nouveau style de vie. Prendre ses responsabilités, c’est renoncer
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lution. La révolution est créatrice. Mais elle ne
crée
pas n’importe quoi, elle ne crée pas à l’aventure. Elle veut créer l’
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ce. Mais elle ne crée pas n’importe quoi, elle ne
crée
pas à l’aventure. Elle veut créer l’homme tel qu’il est. L’homme n’es
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te quoi, elle ne crée pas à l’aventure. Elle veut
créer
l’homme tel qu’il est. L’homme n’est égal à son humanité totale que l
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blème de la pensée personnaliste est désormais de
créer
une tactique déduite de la nature de la personne en acte. Pouvoir d
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finalité vraiment nouvelle. C’est la doctrine qui
crée
, avec des révoltes confuses, une révolution véritable. La doctrine es
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travailler avec « les masses »62 !) 5. L’ordre à
créer
doit se manifester dès maintenant comme mise en ordre. Cela signifie
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de choc sont instruments de dictature. L’ordre à
créer
sera l’œuvre d’un « ordre » analogue aux anciens ordres de chevalerie
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ravail. Le machinisme est, en principe, destiné à
créer
du loisir, dans une société dont la religion dominante est la religio
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il ; mais son effort réel consiste d’autre part à
créer
des possibilités toujours plus grandes de loisir. C’est pourquoi elle
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même où son effort pratique aboutit : au lieu de
créer
de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l
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t : au lieu de créer de la liberté, le machinisme
crée
du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capita
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oître dans des proportions telles que les loisirs
créés
théoriquement par le machinisme se trouvaient aussitôt absorbés par d
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conomie, de l’histoire. Lorsque l’homme renonce à
créer
, son « travail » n’est plus que souffrance. Il ne s’agit plus d’accou
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l des classes chargées d’assurer ce loisir. C’est
créer
un monde impensable, le nôtre. Car si le loisir est simplement le con
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essité et le jeu, les combinant selon sa loi pour
créer
un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein, et nul n’y pourra
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he » un parti négatif, anticlérical d’abord. Il a
créé
dans le pays une coupure qui ne correspond nullement à celle qu’opére
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eux tares qui l’empêcheront toujours d’agir et de
créer
: la mystique parlementaire et le marxisme — l’une trop française, au
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e cessa d’invoquer au risque, il faut le dire, de
créer
provisoirement, dans certains cerveaux, les plus graves malentendus.
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e personne, lorsqu’elle se manifeste comme telle,
crée
aussitôt une tension. D’une part, elle organise ses appuis matériels,
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elle assurée par l’État, d’autre part, il ne peut
créer
dans le vide, et sa création, quelle qu’elle soit, se répercute et pr
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n, sa raison d’être, sa raison de subsister et de
créer
? A-t-elle une politique intérieure qui corresponde au rôle que les a
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de celle qui poussa les physiciens de la Grèce à
créer
la notion d’atome, les philosophes à formuler le principe d’individua
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èce que nous dirions « atomisée ». Le vide social
créé
par l’individualisme est toujours un appel à l’État dictatorial. Et c
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me réalité : la conversion. Tel est l’homme neuf,
créé
par l’Église chrétienne. Ce n’est pas l’individu grec, puisqu’il se s
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ce supérieure à l’État, puisque c’est lui qui l’a
créée
pour ses seules fins, et qu’il n’existe rien au-delà. Pour définir un
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itique, ou la politique religieuse totalitaire, a
créé
le type même d’une communauté régressive, c’est-à-dire d’une communau
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bus de pouvoir deviennent possibles. Certes, l’on
crée
des ersatz de personnes, ou plutôt de personnalités — des milliers de
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er — mais c’est l’État et sa « mystique » qui les
créent
. On ne leur laisse d’initiative que dans les cadres qu’on leur a pres
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ne valent rien par elles-mêmes. Cette manière de
créer
des personnalités s’appelle au vrai : caporalisation. Et la personne