1 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
1 nant, je n’ai plus à choisir parmi tant de choses créées , mais seulement à distinguer, pour moi seul, leur sens convenable. Et
2 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
2 e lieu de votre risque, j’entends le lieu où vous créez vous-même vos mesures, où vous êtes à la fois le créateur et le juge
3 de femme » ? D’ailleurs ce sont les peintres qui créent ces types. Rubens ou Renoir, Ingres, que sais-je ? mes Lédas… Le mar
3 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
4 que l’on baptise inspiration lorsqu’il excite ou crée chez celui qui l’éprouve, le désir de s’en délivrer en l’exprimant. E
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
5 pproche insondablement de Celui qui d’un choix me créa . » (Nous fûmes tous saisis d’un vertige à ce discours d’une furieuse
5 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
6 ui rend seul. À l’Occident qui veut le plein mais crée le vide, nourrissant malgré lui les monstres et le feu. Et à la voie