1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 nt, vers le sérieux ou vers l’humour cocasse, qui créent dans l’ensemble une allure, une atmosphère si différente de l’Europe 
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 seule une atmosphère de démocratie mondiale peut créer les conditions nécessaires au libre-échange ; et en retour ce libre-é
3 ée. Les bureaux à l’américaine semblent avoir été créés pour épargner aux gouvernants cette tragédie. Évitant à la fois le Ch
4 oi ! Deux ans pour débarquer ! (C’est-à-dire pour créer de toutes pièces une armée de 10 millions d’hommes.) Eh quoi ! Trois
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 ce ministère ? J’imagine qu’il a pris à tâche de créer un nouvel esprit, un nouveau sens des devoirs civiques de la presse,
6 On parle d’un nouveau centre de production qui se créerait bientôt du côté de Miami. Les barrières commerciales qui s’opposent à
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 eurs dans les limites de l’activité domestique, a créé les Women’s Club et cent-mille organisations analogues, devant lesque
8 légende pittoresque, mais une nécessité pratique créée par les étranges législations qui règnent encore dans maint État de l
9 ion puritaine au foyer. Mais les standards moraux créés par les Pionniers leur sont transmis sous la forme atténuée de l’Amer
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
10 s lois (qui en résultent souvent, mais qui ne les créent presque jamais) déterminent l’atmosphère d’une civilisation et le deg
11 Quels sont les pays qui marchent mal et qui nous créent le plus d’ennuis ? L’Espagne et le Portugal, parce que ce sont des di
12 e son sens des formes, cesse d’imiter et se met à créer . La réduction du fait à une signification. L’Américain croit aux fai
6 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
13 l’espace américain ; les routes de la vitesse lui créent enfin des cadres. Quand cette surface sera suffisamment organisée, ve