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e partie de l’humanité — l’occidentale — se met à
créer
ce qu’elle désire, et non plus seulement ce qu’il lui faut pour survi
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t ce qu’il lui faut pour survivre, c’est-à-dire à
créer
librement. Mais pour quoi ? Et vers quoi va-t-elle désormais ? Ces gr
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écédent dans l’histoire de l’humanité, situations
créées
par l’approche de limites auxquelles personne ne pouvait croire hier
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ilibre. C’est dans cette vue que le club de Rome,
créé
par quelques industriels et savants européens, et appuyé par les fond
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nditionner la nation dans le carcan de l’État, ou
créer
des communautés librement liées par la foi ou l’espoir ?
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mes ? Une fois de plus on accuse le diagnostic de
créer
le mal qu’il décrit. Aux yeux d’une certaine droite, les travaux du M