1 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
1 il qu’à l’obscurantisme théologique qui dénote la culture d’aujourd’hui, réponde chez les théologiens un « refus d’informer » s
2 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
2 vertit la vie sexuelle et l’élève au niveau de la culture . Puritain ou émancipé, le jeune Américain semblerait un peu fade à no
3 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
3 progrès immenses vers le sérieux et vers la vraie culture . Toutefois, je m’étonne de la manière dont ils réagissent, ou plutôt
4 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
4 , la richesse de l’Europe et l’essence même de sa culture seraient perdues si l’on tentait d’unifier le continent, de tout méla
5 1947, Articles divers (1946-1948). La balance n’est pas égale entre les États-Unis et l’URSS (8 novembre 1947)
5 ner l’attention des mises au pas mensuelles de la culture décrétées par Jdanov en Russie, proclame que « l’Amérique dégrade l’e
6 lusion naturelle, — reste toute la question de la culture américaine dans ses rapports avec « l’esprit », pour parler comme les
7 e ont coutume d’insister sur deux traits de cette culture qui leur paraissent foncièrement déplaisants : la dictature de l’arge
8 nous voici tout près des problèmes que pose la «  culture des masses » en Russie comme en Amérique. Un communiste moins que tou
6 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
9 ts ou serviles dans le domaine des mœurs et de la culture elle y perdrait autant que nous. L’Europe a dépassé le stade de l’ind
7 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
10 in qu’on nomme Europe. Il conditionne aussi notre culture . Et nous allons voir qu’il traduit, et parfois aussi qu’il trahit, la
11 rope a dominé le monde pendant des siècles par sa culture d’abord, dès le Moyen Âge, par sa curiosité et son commerce à l’époqu
12 donc en propre ? Un monopole unique : celui de la culture au sens le plus large du terme, c’est-à-dire : une mesure de l’homme,
13 e cette Europe, de ses complexités vitales, de sa culture . Une analyse sociologique assez grossière suffit à révéler dans tout
14 ruines, des préjugés sociaux, et des habitudes de culture périmées, ou peut-être perverses, comme le pensent et le disent nos v
15 ion de l’homme. À l’origine de la religion, de la culture et de la morale européennes, il y a l’idée de la contradiction, du dé
16 lement que leurs raisons ne sont pas celles de la culture  ; que la culture suppose la libre discussion, en vue d’un engagement
17 raisons ne sont pas celles de la culture ; que la culture suppose la libre discussion, en vue d’un engagement plus authentique
18 , à hauteur d’homme, traduisant dans la vie de la culture , comme dans les structures politiques, les mêmes tensions fondamental
8 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
19 ion, une occasion de réveil. C’est un fait que la culture laïque, a-chrétienne ou antichrétienne, qui prétendait se substituer
20 ique — dans les arts sacrés comme vis-à-vis de la culture vivante, laissant celle-ci désorientée. Il s’agit que nos théologiens
21 es. Sans « dévotion » à rien d’avouable… Toute la culture de l’Occident — musique, peinture, philosophie, littérature — est sor