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lement président du Congrès pour la liberté de la
culture
et l’auteur de dix-sept ouvrages, dont les plus connus sont L’Amour
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ue . Interrogé sur le sens qu’il attache au mot «
culture
», M. de Rougemont nous répond : T. S. Eliot l’a défini mieux que je
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l’a défini mieux que je ne saurais le faire : la
culture
est simplement ce qui rend la vie digne d’être vécue. Le centre a cré
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L’absence d’une «
culture
nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1
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tuel (26-27 septembre 1971)e Il n’y a pas de «
culture
suisse », parce que nos cantons fédérés relèvent par la langue, l’eth
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selon laquelle l’Europe serait une addition de «
cultures
nationales » coïncidant comme par miracle avec les frontières politiq
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chés Il m’a toujours semblé que l’absence de «
culture
nationale », synthétique ou imposée, et la très forte densité culture
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ons s’allumer successivement les foyers locaux de
culture
qui rayonneront sur l’Occident moderne. Les sources de trois grand
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ons souverains : un way of life, une éthique, une
culture
, dont la valeur suprême n’est ni l’individu ni la nation, mais la per
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utonomie des solidaires. e. « L’absence d’une ‟
culture
nationale”, facteur du développement intellectuel », Le Monde, Paris,
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s veut illustrer. J’ai posé là le problème de la
culture
et cherché une morale de la pensée — concept absolument nouveau. (Seu
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nne encore des cours. Une étude approfondie de la
culture
européenne et de ses sources m’a porté à des conclusions d’ordre poli
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ue. Pour défendre l’Europe, la vraie, celle de la
culture
gréco-latine, judéo-chrétienne, et d’abord celtique et germanique, av