1 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
1 que les temps de répit, souvent déshonorés par la culture des illusions et la dégradation du sens de la révolte. L’histoire du
2 onde le même rôle que l’instinct dans l’homme. La culture du xixe siècle a voulu les ignorer et nous assistons à leur vengeanc
2 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
3 rne trop souvent encore, en France, à désigner la culture gréco-latine. Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la quest
4 stianisme confondu d’ailleurs avec une certaine «  culture  », il ne semble pas que ces deux auteurs aient été jusqu’aux dernière
3 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
5 et codifie officiellement l’idéal national que la culture et les mœurs de l’élite devenaient impuissantes à incarner aux yeux d
4 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
6 son argent. Beaucoup proclament la faillite de la culture bourgeoise, aucun ne renonce à y faire figure honorable. Aucun ne rom
7 ismes soumettent de plus en plus la personne à la culture nationale, celle-ci à l’économie, et l’économie à l’État, et rejoigne
5 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
8 point de départ d’un système économique ou d’une culture , c’est vicier à la base toutes les conceptions du loisir qui découlen
6 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
9 , du sentiment patriotique originel ; refus de la culture bourgeoise et de la distinction commode qu’elle suppose et implique e