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eilles : voilà qui me pose tout le problème de la
culture
. Cela paraîtrait absurde à la plupart des intellectuels que je connai
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a gêne qui est absurde ? Essayer de confronter la
culture
et la réalité, c’est peut-être prouver qu’on ignore l’une et l’autre
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trine analogue. Il est normal que les hommes sans
culture
se trompent sur la nature et sur le rôle de la culture. Mais il est i
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re se trompent sur la nature et sur le rôle de la
culture
. Mais il est inquiétant que les hommes cultivés, au lieu de s’efforce
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carté, je serais tombé dans le journal intime, la
culture
des impressions ou le pittoresque. Ce séjour, par ailleurs plein d’ag
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s il faut se défendre ! » 15 avril 1934 La
culture
et les gens. — Souvent, quand je me tire du livre que j’écris — sur l
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me tire du livre que j’écris — sur la crise de la
culture
— pour causer avec la laitière ou la factrice, ou le postier, ou un R
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« l’origine rationaliste de la scission entre la
culture
et le peuple » cela ne peut accrocher à rien dans cet être que j’ai d
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e parler de la « scission » entre cet homme et la
culture
? N’y a-t-il pas là deux mondes qui n’ont jamais eu de contact, ni ja
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y a probablement une fatalité interne dans notre
culture
: elle s’enchante, se critique, se légitime elle-même. Elle a ses loi
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effort de réflexion qui me laisse assez froid. La
culture
m’a repris. Je suis dans le faux et tout y est correct : je dis que l
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’inimitable Laurence Sterne. Le principe de toute
culture
véritable n’est-il pas cette commune mesure, sinon de raisons formula