1 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
1 que les temps de répit, souvent déshonorés par la culture des illusions et la dégradation du sens de la révolte. L’histoire du
2 onde le même rôle que l’instinct dans l’homme. La culture du xixe siècle a voulu les ignorer et nous assistons à leur vengeanc
2 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
3 rne trop souvent encore, en France, à désigner la culture gréco-latine. Nous n’avons pas, bien entendu, à discuter ici la quest
4 stianisme confondu d’ailleurs avec une certaine «  culture  », il ne semble pas que ces deux auteurs aient été jusqu’aux dernière
3 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
5 et codifie officiellement l’idéal national que la culture et les mœurs de l’élite devenaient impuissantes à incarner aux yeux d
4 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
6 que argent. Beaucoup proclament la faillite de la culture bourgeoise, aucun ne renonce à l’ambition d’y faire figure. Aucun ne
7 ismes soumettent de plus en plus la personne à la culture nationale, celle-ci à l’économie, et l’économie à l’État, et rejoigne
5 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
8 point de départ d’un système économique ou d’une culture , c’est vicier à la base toutes les conceptions du loisir qui découlen
6 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
9 , du sentiment patriotique originel ; refus de la culture bourgeoise et de la distinction commode qu’elle suppose et implique e
7 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
10 spective et un avenir commun à la politique, à la culture , à toutes les forces créatrices de ce pays. (paru dans L’Ordre nouv
8 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
11 et surtout ne mélangeons rien. Tributaires d’une culture dont l’ambition suprême était de se « distinguer » des contingences,
12 aient de même en présence du libéralisme et de la culture « désintéressée ». C’est alors qu’on lança parmi nous le mot d’ordre 
13 lança parmi nous le mot d’ordre : « Défense de la Culture  ». Toute la confusion vient de là. Car la culture qu’on nous propose
14 ulture ». Toute la confusion vient de là. Car la culture qu’on nous propose de défendre, c’est elle, précisément, qui est resp