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exions nouvelles sur les mythes érotiques dans la
culture
occidentale, et sur les personnages imaginaires du roman et de l’opér
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étons-le, ni d’une manière plus générale dans les
cultures
que le christianisme n’a que peu ou nullement touchées. I. Le christi
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erreur de vocabulaire est le fait de toute notre
culture
occidentale. 5. La grande mystique chrétienne, bien qu’annoncée par
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encore, des symptômes spécifiques de notre seule
culture
européenne ? Il semble à première vue plus facile de répondre dans le
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is de plus. Que cette action soit propagée par la
culture
, par les œuvres lyriques ou romanesques qui nous « passionnent » (nou
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moyens d’expression, eux, sont sans précédent. La
culture
commercialisée, qui est son véhicule principal, le rend sans doute ir
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rincipal, le rend sans doute irréversible, et les
cultures
totalitaires (ou dirigées), normalement puritaines, seront bientôt dé
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tinct ne dépend pas des modes, ni la nature de la
culture
, — du moins pas si directement. Ce qui se trouve libéré, c’est l’expr
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quelque chose d’important dans l’évolution de la
culture
et de l’anthropologie occidentales. C’est l’éternel débat entre la Gn
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rop adaptés… Mais inventez, dans le domaine de la
culture
, il en reste toujours quelque chose. Ainsi le style des vitrines actu
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ychique n’a qu’un précédent dans l’histoire de la
culture
occidentale : il se situe de la manière la plus précise au xiie sièc
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multiples liens avec l’économie, la société et la
culture
. En revanche, sans l’érotisme et les libertés qu’il suppose, notre cu
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s l’érotisme et les libertés qu’il suppose, notre
culture
vaudrait-elle mieux que celle qu’un Staline, qu’un Mao, ont tenté d’i
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VIIIPour une mythanalyse de la
culture
La littérature érotique embrasse plus de réalités psychologiques qu
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quand j’écrivais L’Amour et l’Occident , qu’une
culture
trop consciente de ses fins et moyens, c’est-à-dire trop sociologique
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u monde en raccourci » et, sans le mythe, « toute
culture
est dépossédée de sa force naturelle, saine et créatrice ; seul un ho
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tellé de mythes parachève l’unité d’une époque de
culture
. Le seul mythe peut préserver de l’incohérence d’une activité sans bu
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presque toutes les vérités de la morale et de la
culture
occidentales, — avant d’en retrouver quelques-unes mieux comprises, a
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contingences de l’histoire, voire aux aléas de la
culture
. Je propose au contraire que l’on cesse de confondre avec la vérité d