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supputé les effets sur la psychologie moderne, la
culture
et la société. Mais a-t-on jamais demandé à ceux qui disent que Dieu
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ion, une occasion de réveil. C’est un fait que la
culture
laïque, a-chrétienne ou antichrétienne, qui prétendait se substituer
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ique — dans les arts sacrés comme vis-à-vis de la
culture
vivante, laissant celle-ci désorientée. Il s’agit que nos théologiens
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s. Sans « dévotion » à rien d’avouable…x Toute la
culture
de l’Occident — musique, peinture, philosophie, littérature — est sor
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éral du niveau d’instruction, une déflation de la
culture
classique, non seulement dans les pays ruinés par la guerre, mais aut
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rre a toujours pour effet de démoder les types de
culture
de la période d’avant-guerre, même dans les pays vainqueurs. Dans les
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rs. Dans les pays conquis la jeunesse accusera la
culture
de la génération précédente, celle de ses parents d’avoir amené la ca
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t — de solutions « totale » dans le domaine de la
culture
. Car l’époque bourgeoise a été une ère de division, d’absence de pare
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l’abîme s’élargira entre le monde religieux et la
culture
. Cette dernière s’établira contre le christianisme et probablement av
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n mesure d’intervenir dans le développement de la
culture
, elle doit être fondée sur une doctrine ferme, sur une théologie qui
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vague n’a plus rien à dire dans le domaine de la
culture
. Une telle Église peut donner un avis sur le plan politique. Elle peu
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par un pur humanisme. Mais, dans le domaine de la
culture
, il en est tout à fait autrement. Ici une Église ne peut adopter des
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L’abîme commença à s’ouvrir entre l’Église et la
culture
. Un chrétien du xixe ou du xxe siècle, par exemple, pouvait croire
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’a rien à donner, si elle n’a rien à exiger de la
culture
, cette dernière s’en trouvera appauvrie et désorientée. Elle sera cou
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ée. Elle sera coupée de ses racines. Car toute la
culture
occidentale est née de la théologie et de la liturgie chrétienne ; so
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gique à ses origines.) Et, en second, lieu, si la
culture
perd contact avec l’Église, avec sa doctrine et son culte, l’Église p
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testants où le souci de rattacher tout travail de
culture
à une théologie stricte a entièrement disparu — en raison du manque d
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séquences culturelles Deux dangers menacent la
culture
moderne au point de vue d’une éthique fondée sur la vocation : a) un
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s de mettre en contact organique les créateurs de
culture
et l’Église comme telle — l’Église comme corps de doctrine et comme c
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hose doit être créé si nous voulons éviter que la
culture
de demain se développe selon des voies qui s’éloignent de plus en plu
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« This would result in the creation of centers of
culture
which are clearly diversified, but which favor intellectual striving
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que) la mesure d’une civilisation, le canon d’une
culture
et d’un ordre social, le principe initial et final régulateur et en m
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ent avoir pour objet de plaire à Dieu.11 Une
culture
pauvre, mais fidèle Un homme du xixe siècle ne peut, me semble-t-
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pansion, mais aussi de l’anarchie finale de notre
culture
moderne. Culture dont les éléments progressivement désunis, puis coup
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si de l’anarchie finale de notre culture moderne.
Culture
dont les éléments progressivement désunis, puis coupés de toute base
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que tout autre de juger. Que devient en effet la
culture
, dans un monde où n’est tolérée que « la seule chose nécessaire ? »
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mais être sacrifiée.12 Ainsi toute tentative de
culture
profane se voit assimilée à une révolte d’orgueil contre Dieu. La cul
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assimilée à une révolte d’orgueil contre Dieu. La
culture
d’Israël sera pauvre à raison même de sa pureté. Sa pauvreté sera la
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rquoi sa pauvreté même garantit la fidélité de la
culture
du peuple hébreu. C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe t
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dustriel. » Que reste-t-il de ce que nous nommons
culture
? Philosophie, beaux-arts, fictions écrites, science, industrie, tout
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la vie. Si l’on admet que la destination de toute
culture
, c’est de concentrer les puissances de la nature et de la société dan
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quel il dédie toutes ses œuvres, l’on voit que la
culture
la plus pauvre, qui fut celle du peuple hébreu, fut aussi la plus con
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tale de cette notion de commune mesure pour toute
culture
ou civilisation, j’ai donné de plus amples précisions dans un volume
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et hardiment novateur, génie financier, niveau de
culture
élevé, etc. 19. D’autres auteurs, tels que Labriola, font remonter l
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il qu’à l’obscurantisme théologique qui dénote la
culture
d’aujourd’hui, réponde chez les théologiens un « refus d’informer » s
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écessairement. Pour sauver le reste — disons : la
culture
, l’esprit, et l’âme si l’on y tient — il faut commencer par le nier.
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se transforme ? N’a-t-on pas démontré déjà que la
culture
, par exemple, n’est qu’un « reflet » du processus économique ? On voi
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aux tentations théocratiques ou séculières. Si la
culture
et si nos libertés civiques sont brimées, par le fait d’une doctrine
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mier plan les grandes questions d’éducation et de
culture
. Ainsi, chaque réussite de la recherche occidentale crée de nouvelles
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s que de maintenir des cloisons étanches entre la
culture
en général et la technique. Je vous ai montré tout à l’heure la techn
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ré tout à l’heure la technique débouchant dans la
culture
des masses. En revanche, n’oublions jamais que la culture pure, la re
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des masses. En revanche, n’oublions jamais que la
culture
pure, la recherche pure, est l’origine réelle de nos progrès techniqu
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’état des choses, les turbines, c’est sérieux, la
culture
n’est qu’un luxe, et que l’important était d’abord de lutter contre l
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nitivement des démocraties, ce sera la mort d’une
culture
et d’une économie, sans doute, mais ce sera surtout la suppression de
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des techniciens. C’est le problème des moyens de
culture
, qui seront mis à contribution, sur une échelle brusquement agrandie.
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geoisie, du déclin de l’Occident, du déclin de la
culture
, et de la fatalité des tyrannies prochaines, de laisser pour un temps
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ique favoriseront au contraire la diffusion de la
culture
, et par là même l’inquiétude métaphysique chez un nombre croissant d’
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ce religieuse, mais celui d’autres religions. Les
cultures
sont destinées à s’interpénétrer de plus en plus. Les anciennes relig
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plus congénial aux développements présents de la
culture
scientifique et technique49, et d’avoir été le père des régimes de dé
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ne idéologie dans la mesure où il reste lié à une
culture
déterminée qui a sa source historique en Europe. Né de la rencontre «
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cette étroite cohérence du christianisme et de la
culture
née en Europe apparaît-elle comme une chance d’avenir ou comme une ta
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e dis pas, bien sûr, que tous ces véhicules de la
culture
occidentale agissent à l’instar d’une armée de missionnaires, et amèn
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ses attaches circonstancielles avec des formes de
culture
, c’est-à-dire de pensée, de vie et d’organisations sociales devenues
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ain et du vin pour la communion. La vigne est une
culture
typique du bassin sémitico-gréco-romain de la Méditerranée. L’Asie et