1 ire délimité, dès lors sacré ; le phénomène de la culture , lié d’abord aux rythmes saisonniers, puis sur un autre plan aux trad

2 t acquis : souvenirs d’échecs et de succès vécus, culture , éthique, recettes, craintes et désirs, vagues pressentiments et coup

3 de Prométhée domine l’aventure assumée par notre culture occidentale. J’y trouve la clé de l’anxiété qui sous-tend nos essais

4 ent au terme de croissance tant de millénaires de culture du sol ; d’autre part, à la confusion qui s’opère dans l’esprit des m

5 bord, non du commerce, puis de l’armée, non de la culture , et moins encore de ce qu’on nommera tourisme au xxe siècle. d) Le

6 uiets s’avisent que l’avenir, non seulement de la culture mais de la nature, dépend de plus en plus de nos options de fait, dél

7 e et par-là, finalement, la vie de l’individu, sa culture , ses croyances mêmes. Mais tout d’un coup, à cause d’Hiroshima, on s’

8 la triade hégélienne et du modèle historique des cultures , lesquelles poussent, fleurissent, se fanent et meurent comme chacun

9 série est à l’image de ce mécanicien têtu et sans culture (il se verra contraint d’avouer plus tard, au cours d’un procès, qu’i

10 la raison d’être d’une cité — transports, marché, culture , beauté des perspectives, sécurité, surprises de la rue, vie des plac

11 nt, téléphone, urbanisme, recherche scientifique, culture artistique, santé publique même. » 102. À ceux qui l’avertissaient e

12 Fayard, Paris, par la Fondation européenne de la culture , 1972. 104. Extraits d’un article paru dans Foi et Vie, Paris, 16 fé

13 t de l’économie, de la technique, des villes, des cultures , des paysages… Enfin l’homme, en tant que personne, est la source de

14 progrès humain — celles que pourrait avouer notre culture occidentale christianisée, et qu’il est grand temps qu’elle déclare.

15 lliatifs dérisoires à ce qui fut la base de toute culture , celle des mœurs, autrefois fonction de l’Église et des grands mythes

16 illeurs a dissous son armée) ». Qu’il s’agisse de culture ou d’industrie, de créativité, de taux de change ou d’emploi, et surt

17 orer les voies de communication sans détruire nos cultures et nos rues, le problème est le même pour les communes voisines, et l

18 ustries tout en préservant l’environnement et les cultures , de manière à établir des proportions optimales entre population et r

19 raire, la variété des structures et des sols, des cultures , des paysages, contribuant à faire un vrai « pays »163. Voyons d’un p

20 rmi les autres composantes, telles que l’unité de culture , de mœurs et de coutumes, les stéréotypes, les structures sociales, l

21 dien, mais qui a sans aucun doute marqué toute la culture de la région et laissé des traces profondes dans l’inconscient de ses

22 peler que les créations les plus mémorables de la culture européenne sont toutes nées de foyers locaux ? Padoue, moins de trois

23 Je ne sais. Elles ont fait l’Europe, celle de la culture , la plus vraie. Au plan de la politique générale, existerait-il une j

24 ris, 1976, et Jacques Ruffié, De la biologie à la culture , Flammarion, Paris, 1976. 172. Les travaux du physicien et mathémati

25 siècle. En 1949, à la Conférence européenne de la culture , à Lausanne, j’entre à 2 heures du matin dans un salon d’hôtel pour é

26 c’est une activité distincte de l’économie, de la culture … Or, en dehors de la politique industrielle et commerciale, de la pol

27 ’économie, de l’écologie, de l’éducation et de la culture , des recherches scientifiques, des relations avec les autres continen

28 érience historique et politique, ces complexes de culture irremplaçables, non moins différenciés et contrastés, non moins irrem