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nsciences ! » Récit détaillé des calomnies que le
curé
répand sur son compte, dans les foyers et jusque dans la presse1 ! «
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ccès. En sortant, nous passons devant la salle du
curé
, qui donne aussi ce soir une séance de cinéma. On entend rire des enf
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. On entend rire des enfants. — J’ai rencontré le
curé
ce matin, suivi comme d’habitude d’une bande de petits garçons. Il n’
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e ou la France de Bordeaux, la feuille locale des
curés
ou celle des républicains. Il est à peu près impossible de savoir s’i
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comprendre ses intentions. Il a un oncle qui est
curé
, mais je ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la lecture de l
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le qui est curé, mais je ne saisis pas bien si ce
curé
lui a interdit la lecture de la Bible, ou si, au contraire, il pourra
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, et je n’avais jamais pu parler à A…, à cause du
curé
qui s’y opposait par tous les moyens. Ils sont difficiles à prendre,
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e, arrivée d’un bateau, prix du sel, causeries du
curé
ou de l’instituteur, mariages, décès et naissances) tiennent presque
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où irions-nous donc, nous qui ne croyons plus aux
curés
! — Comptez, monsieur, — lui dis-je, — qu’un écrivain a bien deux foi
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st aux mains de M. T…, député de droite, et des «
curés
». L’autre est « républicain et antifasciste ». 2. Village à l’autre