1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 tre Léda en soit réduite à se faire aimer par son cygne . Quel homme voudrait d’une femme pareille ? Un mari. Vous lui avez r
2 Le peintre. Naturellement, je lui ai dit que mon cygne n’avait pas besoin de lunettes. Le mari. Vous auriez pu lui faire ob
3 er que votre Léda n’existe réellement que pour le cygne , et avec lui. Un critique d’art devrait comprendre au moins cela… Que
4 dites : une Léda, après tout, c’est une femme au cygne . Elle est faite pour lui. Je n’en dirais pas autant d’Ellen. Pas fait
5 a Léda est bien plus « morale » en embrassant son cygne que beaucoup de femmes en embrassant leur légitime et monstrueux épou
6 e à la première question : Léda est faite pour le cygne , elle n’existe que par rapport au cygne. C’est là toute sa morale, so
7 e pour le cygne, elle n’existe que par rapport au cygne . C’est là toute sa morale, son esthétique et son existence. Elle est
8 nce propre, c’est-à-dire dans son rapport avec le cygne et dans les limites de ce cadre, celui-là la considère aussi dans son