1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 l’est, des collines fluides et roses. De l’autre côté , c’est le vide, où s’en vont lentement les eaux et les lueurs, vers l
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 sans cesse des possibilités imprévues. Il y a un côté « homme de la Renaissance » chez un Charles Humbert livré à sa fougue
3 arraud ne seraient pas très éloignés par d’autres côtés . Un avenir peut-être proche dira dans quelle mesure de tels groupemen
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
4 théâtre, en retard, un peu ennuyé de me trouver à côté d’une place vide : la jolie femme qu’on attend dans ces circonstances
5 lles, illusions des reflets qui ne livrent que le côté terrestre des choses dont l’autre moitié sera toujours cachée, ainsi
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
6 j’ai vite découvert un « Friedrich Hölderlin » à côté d’un « Hypérion ». En cherchant, je trouverais bien aussi un « Nietzs
7 t des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de l
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
8 de l’époque, mais non sur le sort de l’esprit. À côté d’eux, s’écrient nos auteurs, « qu’on nous montre un seul Français qu