1 coutumes, toutes supérieures à celles du pays d’à côté . Et puisqu’il faut baser l’union sur quelque chose qui soit commun à

2 ent clairement que par rapport à la liberté. D’un côté , les peuples qui se disent libres et entendent le rester ; de l’autre

3 ossible de discuter longtemps pour savoir de quel côté du rideau de fer il y a le plus de justice sociale, théorique ou prat

4 er, ce qui est évident aux yeux de tous, des deux côtés , c’est que nous voulons la liberté, et que les autres veulent la dict

5 sont les proportions de cette séparation ? De ce côté -ci du fameux rideau, nous sommes quelque 320 millions, tandis qu’il n

6 es Européens que nous perdons, provisoirement, du côté est. Et le meilleur moyen de les ramener parmi nous sera sans doute d

7 s’ouvre à Genève à l’heure choisie par l’Est. Du côté russe, l’idée de manœuvre est claire : fixer la France d’abord, puis

8 français ou allemand selon qu’il se trouvait d’un côté ou de l’autre de la frontière linguistique, idéalement prolongée dans

9 des esprits en profondeur reste indispensable. Du côté nationaliste, cette préparation se trouve faite, depuis un siècle, et

10 stoire : l’anti-Europe a joué là-dessus. De notre côté , tout reste à faire, ou presque. Une révolution est l’aboutissement d

11 ente et l’orthodoxie romaine battue en brèche. Du côté cathare, le mariage et la sexualité sont condamnés sans rémission par

12 t-à-dire de l’immense majorité des hérétiques. Du côté catholique, le mariage est tenu pour sacrement, cependant qu’il repos

13 servir comme avant, il dort dans le même lit, du côté gauche. Pendant encore quatre mois, il dormira du côté droit, après i

14 gauche. Pendant encore quatre mois, il dormira du côté droit, après ils dormiront enlacés, etc. Tous ces préliminaires ont p