1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
1 l désir d’elle a envahi mon âme ! Et elle, de son côté , avec quelle affection elle me faisait accueil et me regardait comme
2 pays barbares. » Ainsi elle se lamentait, mais à côté d’elle se tenait Vénus, souriant malignement, et son fils, l’arc déte
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
3 entendait le pays où le soleil se couche. De leur côté , la lumière ; du nôtre, l’obscurité, les ténèbres, l’Arip, mot que l’
4 les ténèbres, l’Arip, mot que l’on doit mettre à côté du sombre Erèbe de la mythologie grecque. En effet, ne pouvant pas dé
5 rique de Zeus est ainsi évidente. Eurôpè, de son côté , n’a point tardé à produire son masculin eurôpos. « Zeus qui voit loi
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
6 itions de la vie matérielle. Les Romains, de leur côté , après avoir incorporé à leur empire maintes nations restées jusque-l
7 e est en état de se suffire à elle-même, puisqu’à côté d’une population nombreuse de cultivateurs et de citadins, elle compt