1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 l désir d’elle a envahi mon âme ! Et elle, de son côté , avec quelle affection elle me faisait accueil et me regardait comme
2 on père, prêt à le plaindre, Darios, paraît à ses côtés  ; mais, dès qu’il le voit, Xerxès déchire les vêtements qui couvrent
3 pays barbares. » Ainsi elle se lamentait, mais à côté d’elle se tenait Vénus, souriant malignement, et son fils, l’arc déte
4 entendait le pays où le soleil se couche. De leur côté , la lumière ; du nôtre, l’obscurité, les ténèbres, l’Arip, mot que l’
5 les ténèbres, l’Arip, mot que l’on doit mettre à côté du sombre Érèbe de la mythologie grecque. En effet, ne pouvant pas dé
6 rique de Zeus est ainsi évidente. Eurôpè, de son côté , n’a point tardé à produire son masculin eurôpos. « Zeus qui voit loi
7 itions de la vie matérielle. Les Romains, de leur côté , après avoir incorporé à leur empire maintes nations restées jusque-l
8 pe est en état de suffire à elle-même, puisque, à côté d’une population nombreuse de cultivateurs et de citadins, elle compt
9 t délimité l’Europe font passer ses frontières du côté du Levant : par l’extrémité de la mer Égée, l’Hellespont, la mer appe
10 roit où commence la mer Méditerranée ; ensuite du côté méridional : ils ont dit que l’Europe était délimitée par la mer Médi
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
11 , et que de là notre race s’est propagée des deux côtés en multiples rameaux pour s’étendre enfin jusqu’aux pays d’Occident,
12 t toute la durée de cette lutte, nous le voyons à côté du roi, recevant ses inspirations, lui fournissant des arguments, ten
13 leur supérieur ; car si l’évolution tendait de ce côté -là, il y aurait des guerres, des séditions, des dissensions sans fin 
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
14 on antipapale et anti-impériale à la fois. De son côté , Vives dans un écrit complémentaire à celui qu’on vient de citer : De
15 communiquent à toutes les activités humaines. Du côté calviniste enfin, les conceptions du catholique Vives et des luthérie
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
16 ir que plus je le considère, et ce par différents côtés , plus je le trouve avantageux aux souverains. C’est l’établissement d
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
17 ste par des conventions et des accords : des deux côtés il faut une force coactive qui unisse les volontés, concerte les mouv
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
18 elles l’ont été depuis, et bien qu’elle existât à côté du pouvoir souverain et se mêlât quelquefois à lui, était dès lors un
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
19 elle quiconque est frère ou veut l’être. De leur côté , invasion ; du côté de la France, expansion. Sur ce thème dialectiqu
20 ’homme à l’élément divin, et l’autre à laisser de côté l’élément divin et à proclamer l’indépendance et la souveraineté de l
21 u’elle n’a pas le moindre danger à redouter de ce côté . L’influence que la Russie exerçait en Europe, messieurs, elle l’exer
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
22 n’oserait attaquer cette fédération, qui, de son côté , ne pourrait en aucune manière manifester de tendances agressives. De
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
23 ano-germanique » : Italie — France — Espagne d’un côté , Allemagne — Angleterre — Scandinavie de l’autre. César, par sa conqu
24 us… L’Empire ottoman est écrasé, traversé de tous côtés par le fait chrétien. Disons-le tout net : par « fait chrétien » nous
25 perfidie des civilisés. Soyons moins absolus ; à côté du droit des morts, admettons pour une petite part le droit des vivan
26 ples qui, encore en leur enfance, sommeillèrent à côté des grands peuples civilisés de l’Antiquité, nous ne nous sentons pas
27 Il m’arrive parfois aussi d’imaginer un des beaux côtés de ces temps nouveaux : comment, sur tous les efforts et aspirations,
28 n. Nos instincts se dispersent maintenant de tous côtés , nous sommes nous-mêmes une sorte de chaos ; enfin « l’esprit », je l
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
29 s abusé des savants mélanges ? Faut-il laisser de côté mes devoirs difficiles et mes ambitions transcendantes ? Dois-je suiv
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
30 de « nationalismes » que l’on nous offre de tous côtés … Il est vraiment comique de contempler telle ou telle petite républiq
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
31 er ont largement contribué à définir. Laissons de côté l’ordre chronologique — qui perd son importance dans une période si c
32 enus, depuis Luther, leur véritable Antiquité. Du côté catholique, Chateaubriand avait brillamment démontré dans le Génie du
33 s erreurs ne furent d’ailleurs pas toutes du même côté . Lorsque, au xixe siècle, un certain nombre d’inventions spectaculai
34 e. La tradition socratique a fortement agi sur le côté intellectuel de l’Église et a contribué à doter la religion chrétienn
35 qui donne à la vie son vrai sens, sa poésie, son côté dramatique et sa valeur éternelle.297 Et voilà pour la qualité, but
36 données qui nous permettent de pressentir de quel côté à peu près nous devrions chercher pour distinguer, ne fût-ce que les
37 nt réduits en esclavage et transportés de l’autre côté de l’Atlantique pour servir les Européens qui avaient colonisé les Am
38 out de même aujourd’hui, où l’on conteste de tous côtés l’hégémonie de l’Europe ; où il devient impossible de considérer plus
39 ous pourrions bien faire, nous qui existons de ce côté de la planète, si ce n’est de réaliser la promesse que, depuis quatre