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bras, — dit-on… J’espère avoir une solution moins
défaitiste
à vous offrir. — Et ce sera mon second exemple. Un écrivain américain
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pas un garçon de sa trempe qui inventa le slogan
défaitiste
: moins d’idées ! Mais plus probablement, l’un de ces esthètes fortun
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épendante n’a paru plus gravement menacée. Voix
défaitistes
En présence de cette situation, certains nous proposent déjà de ca
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concluant : pourquoi se défendre ? Réponse aux
défaitistes
Je ne perdrai pas beaucoup de temps à réfuter les défaitistes. L’e
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Je ne perdrai pas beaucoup de temps à réfuter les
défaitistes
. L’expérience m’a prouvé que ces gens-là ne sont pas sensibles aux ra
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es déjà perdus. Voilà ce qu’il faut répondre aux
défaitistes
, parce que c’est vrai, parce que c’est évident. Cependant les meilleu
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s leur faire dire. (Il leur reste à me traiter de
défaitiste
.) Une politique qui négligerait le fait que la guerre nous plaît pour
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pas un garçon de sa trempe qui inventa le slogan
défaitiste
: moins d’idées ! Mais plus probablement, l’un de ces esthètes fortun
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sans eux. Les sceptiques rejoindront un jour, les
défaitistes
auront perdu comme il se doit, et les nationalistes feront l’oppositi
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posant à ce qu’elle redoutait. Et, tandis que les
défaitistes
cédaient aux tentations d’une fausse symétrie entre l’URSS et les USA
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s l’URSS. Les sceptiques rejoindront un jour, les
défaitistes
auront perdu comme il se doit, et les nationalistes feront l’oppositi
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n’a pas manqué de donner prétexte à des arguments
défaitistes
. On nous dit : — Vaut-il la peine de faire l’Europe sans eux ? Répons
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plus rien, qu’elle est malade. Ainsi parlent les
défaitistes
européens. La vérité est différente : ce ne sont pas nos libertés qui
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liberté. Ou plutôt, c’est le sens et le goût des
défaitistes
dont nous venons de parler. Ils ont peur de la liberté, ils en sont f
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lliance incestueuse des communistes, des généraux
défaitistes
en retraite et des nationalistes psychopathes contre n’importe quelle
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ue avec leur écho. Les neutralistes ? Ce sont les
défaitistes
de l’Occident, ils n’ont rien de positif à proposer aux Russes, et ne
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ité « à la Suisse » se nourrit à la fois du désir
défaitiste
de tirer son épingle du jeu, et d’un besoin plus fier d’indépendance.
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l ne serait pas sans intérêt de souligner que les
défaitistes
européens, nationalistes ou marxistes, qui soutenaient depuis cinquan
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l ne serait pas sans intérêt de souligner que les
défaitistes
européens, nationalistes ou marxistes, qui soutenaient depuis cinquan