1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
1 le trottoir, débits de boisson, de tabac, légumes défraîchis . D’une allée sort un homme en espadrilles. Il porte un broc et va le
2 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
2 us en rêvent, ou en rêvassent. Et si brouillée et défraîchie que soit l’empreinte du mythe primitif, c’est pourtant là qu’est le s
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VI. Le mythe contre le mariage
3 us en rêvent, ou en rêvassent. Et si brouillée et défraîchie que soit l’empreinte du mythe primitif, c’est pourtant là qu’est le s
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
4 s en rêvent, ou en rêvassent. Et si brouillée, et défraîchie que soit l’empreinte du mythe primitif, c’est pourtant là qu’est le s
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VI. Le mythe contre le mariage
5 s en rêvent, ou en rêvassent. Et si brouillée, et défraîchie que soit l’empreinte du mythe primitif, c’est pourtant là qu’est le s
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
6 le trottoir, débits de boisson, de tabac, légumes défraîchis . D’une allée sort un homme en espadrilles. Il porte un broc et va le