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nt spirituels que matériels, au service de l’État
déifié
. Cette situation n’est pas sans rappeler celle de l’Empire romain au
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ssique ») de la dictature « nécessaire ». L’État,
déifié
, devient l’État totalitaire, providence de tous les sujets, à charge
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ue la passion transportée à l’échelle des peuples
déifiés
. J’aborde ici la seconde partie de cet exposé : elle sera beaucoup
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ue le divin : Dieu, notre idée de Dieu, ou le Moi
déifié
. Mais pour celui que le mythe vient tourmenter sans lui révéler son s
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ue le divin : Dieu, notre idée de Dieu, ou le Moi
déifié
. Mais pour celui que le mythe vient tourmenter sans lui révéler son s
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paradoxe, bien qu’en un reflet inversé. Cet amour
déifié
n’est pas le Dieu d’Amour. Il n’élit pas un homme pour le sauver, mai
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paradoxe, bien qu’en un reflet inversé. Cet amour
déifié
n’est pas le Dieu d’Amour. Il n’élit pas un homme pour le sauver, mai
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pose un dilemme. L’Occident succombant au Devenir
déifié
va-t-il se mettre hors d’état de faire l’histoire ? Ou, surmontant le
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ose un dilemme. L’Occident, succombant au Devenir
déifié
, va-t-il se mettre hors d’état de faire l’Histoire ? Ou, surmontant l
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nt spirituels que matériels, au service de l’État
déifié
. Cette situation n’est pas sans rappeler celle de l’Empire romain au
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l’Empire d’Alexandre et à Rome : Alexandre s’est
déifié
de son vivant, César est devenu Auguste. C’est parce que les premiers