1 re pauvre : sa seule richesse consistant à savoir dépenser . Pauvre non par refus du monde, mais parce que le monde n’est jamais

2 pauvre : sa seule richesse consistant à savoir se dépenser . Pauvre non par refus du monde, mais parce que le monde n’est jamais

3 le cité : « Comme tous les Français, je répugne à dépenser beaucoup d’argent pour un ouvrage périssable, surtout quand il s’agit

4 -ce pas pour les plus périssables choses que nous dépensons notre argent ? L’Éthique de Spinoza coûte moins cher qu’une petite 5

5 nnées ». Pédenaud me considère comme riche (sinon dépenserais -je tant à son guichet ?) mais s’il savait que j’ai dépensé près de 60

6 e tant à son guichet ?) mais s’il savait que j’ai dépensé près de 600 francs depuis trois semaines, il estimerait que j’exagère

7 osses fortunes en très peu de temps, parfois sans dépenser un seul bidon d’essence. Simplement, ils vendent la menace d’utiliser

8 osses fortunes en très peu de temps, parfois sans dépenser un seul bidon d’essence. Simplement, ils vendent la menace d’utiliser

9 nnées ». Pédenaud me considère comme riche (sinon dépenserais -je tant à son guichet ?), mais s’il savait que j’ai dépensé près de 6

10 tant à son guichet ?), mais s’il savait que j’ai dépensé près de 600 francs depuis trois semaines, il estimerait que j’exagère

11 erkegaard et Nietzsche. Le premier était riche et dépensait sans compter1. Le second était si pauvre, au moment où il écrivit ses

12 erkegaard et Nietzsche. Le premier était riche et dépensait sans compter85. Le second était si pauvre, au moment où il écrivit se

13 au du voisin, à perdre la mesure de ce qu’il peut dépenser sans s’affaiblir. Les armements deviennent trop lourds pour lui : ils

14 nnées ». Pédenaud me considère comme riche (sinon dépenserais -je tant à son guichet ?) mais s’il savait que j’ai dépensé près de 60

15 e tant à son guichet ?) mais s’il savait que j’ai dépensé près de 600 francs depuis trois semaines, il estimerait que j’exagère

16 erkegaard et Nietzsche. Le premier était riche et dépensait sans compter29. Le second était si pauvre, au moment où il écrivit se

17 faire des fortunes en peu de temps, parfois sans dépenser un seul bidon d’essence. Simplement, ils vendent la menace d’utiliser

18 beaucoup moins à l’élégance : santé d’abord. Ils dépensent plus que vous pour avoir un frigidaire, du lait contrôlé, des jus de

19 ontrôlé, des jus de fruits et des céréales ; vous dépensiez plus qu’eux dans le bon temps pour avoir un bifteck et du vin rouge.

20 mais qui vaut aussi bien pour les Suisses : Ils dépensent plus que vous pour avoir un frigidaire, du lait contrôlé, des jus de

21 ontrôlé, des jus de fruits et des céréales ; vous dépensez plus qu’eux pour avoir un bifteck et du vin rouge. Ils ne lisent pas

22 de charbon ou de pétrole, l’Europe devrait alors dépenser , aux prix actuels, environ 5 milliards de dollars. Que deviendrait al

23 s grandes sommes — des milliards de dollars — que dépensent nos plus grands États, sont affectées à la recherche des moyens d’exp

24 des gens à leurs gages, et qu’à tout prendre ils dépensent chacun pour le moins deux-mille écus par an ; de sorte que la seule v

25 euvent observer avec indignation qu’avec l’argent dépensé pour les préparatifs d’un siège on établirait et entretiendrait une c

26 ive à se demander aujourd’hui : est-ce que l’on a dépensé 100 milliards — 100 milliards n’étant qu’une partie de la dépense tot

27 s grandes sommes — des milliards de dollars — que dépensent nos plus grands États, sont affectées à la recherche des moyens d’exp

28 ayer ses trajets vers son travail, c’est-à-dire à dépenser pour être payé, ou à payer pour pouvoir gagner une vie qu’il n’aura m

29 i, Rabi et quelques autres. Mais j’ai pourtant dû dépenser pas mal de temps et d’énergie à l’époque (c’est-à-dire entre 1950 et

30 Est-ce qu’elles vaudront les seize milliards déjà dépensés par l’État, donc par les contribuables français et anglais ? Est-ce q

31 Est-ce qu’elles vaudront les seize milliards déjà dépensés par l’État, donc par les contribuables français et anglais ? Est-ce q

32  ? Est-ce qu’elles vaudront les 16 milliards déjà dépensés par l’État, donc par les contribuables français et anglais ? Est-ce q

33 temps, le potentiel belliqueux ainsi dégagé va se dépenser en Afrique noire, en Éthiopie, au Maroc et au Proche-Orient où França

34 tout neufs une partie des centaines de milliards dépensés chaque année pour nos armements ? Mais nous savons par expérience que

35 ira des effets sans commune mesure avec l’énergie dépensée pour la coder et la transmettre de Friedrich Engels à Karl Marx. Car

36 des sommes allouées à l’aide du tiers-monde sont dépensées dans le pays donateur, pour fabriquer ce qu’il va « donner ». Tout ce

37 ne pour en faire d’autres. En 1979, les États ont dépensé plus de 500 milliards de dollars pour des armements qui, au mieux, ne

38 00 milliards de dollars. On n’avait encore jamais dépensé une somme pareille. L’industrie des armements devient le centre de to

39 ique qu’il n’y paraît à première vue : au lieu de dépenser des sommes énormes pour acheter des chars modernes et des avions vite

40 modernes et des avions vite démodés, on pourrait dépenser un peu d’argent pour enseigner le russe dans les écoles. De telle man

41 temps, le potentiel belliqueux ainsi dégagé va se dépenser en Afrique noire, en Éthiopie, au Maroc et au Proche-Orient où França

42 s continentales ; et les 600 milliards de dollars dépensés l’an dernier pour les armements, la plus grosse dépense jamais faite