1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
1 politico-financier. Et il y aurait bien vite des députés pour célébrer les bienfaits sociaux, que dis-je, la valeur hautement
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
2 politico-financier. Et il y aurait bien vite des députés pour célébrer les bienfaits sociaux, que dis-je, la valeur hautement
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 ’est la Poésie, et la France c’est la Chambre des Députés , je n’en veux pas démordre, et la Légion d’honneur — je vous la laiss
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
4 es présentant les armes. À ce salut, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout des doigts, crainte,
5 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
5 sages adressés aux Princes des Prêtres, à MM. les Députés , au chef du gouvernement. L’on s’étonne que M. Duhamel n’ait joint à
6 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 es présentant les armes. À ce salut, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout des doigts, crainte,
7 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
7 ’est la Poésie, et la France c’est la Chambre des Députés  », disait un amoureux de la France. Quand vous prenez un taxi passé o
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 es présentant les armes. À ce salut, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout des doigts, crainte,
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
9 en d’un Comité composé du Conseil de Ville et des Députés de Vallengin… La ville de Neuchâtel jouit de privilèges très considér
10 intement considérés » avec les Trois États et les députés de Valangin, les vingt et une Cours de justice locales, les Châtelain
10 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
11 du dehors, mais arrachée en fin de séance par un député obscur, ami du colonial, du fonctionnaire ou du banquier, après la gr
12 épendance du préfet, lequel obéit aveuglément aux députés de son département. Les initiatives locales dans ces conditions sont
13 e qu’on entreprenne sans la recommandation de son député . Elle est sans efficacité puisque tout le monde l’obtient, mais par l
11 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
14 fort au-delà du nécessaire. (Il y a même quelques députés .) On répondit à Berdiaev : mais nous avons Dandieu… Il nous reste, du
12 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
15 lières, concrétisées par la seule disposition des députés dans les travées du palais Bourbon. Le Cahier de revendications que j
13 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
16 Ils précisent : « La Chambre sera composée de 400 députés (?) élus au suffrage universel intégral (femmes comprises) pour une d
17 hapitre sur les Affaires étrangères, qui sent son député radical. « Nous savons trop qu’au point où on a laissé aller les chos
18 st-ce pas plutôt le verbiage et la logomachie des députés vis-à-vis desquels le même Romains se montre d’ailleurs non moins res
19 rs non moins respectueux ? « Deux ou trois jeunes députés ont participé aux séances (de préparation du plan) ; l’un d’eux très
14 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
20 le, elle admire plutôt les « caractères » que les députés ou les littérateurs. Elle a plus de dureté et plus de chaleur d’âme q
15 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
21 lières, concrétisées par la seule disposition des députés dans les travées du Palais-Bourbon. Le Cahier de revendications que p
16 1934, Politique de la personne. Appendice — 4. Ni droite ni gauche
22 tiques, et des risques personnels que courent les députés auprès des électeurs si par hasard la solution est adoptée. Accordons
17 1934, Politique de la personne. Appendice — 5. La Révolution nécessaire
23 fort au-delà du nécessaire. (Il y a même quelques députés .) On répondit à Berdiaev : mais nous avons Dandieu… Il nous reste, du
18 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
24 le, elle admire plutôt les « caractères » que les députés ou les littérateurs. Elle a plus de dureté et plus de chaleur d’âme q
19 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 3. Groupements personnalistes
25 lières, concrétisées par la seule disposition des députés dans les travées du Palais-Bourbon. Le Cahier de revendications que p
20 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
26 directe, abandonnée aux comités électoraux et aux députés , des millions de citoyens s’excitent sur les hebdomadaires de droite
21 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
27 37 doit lui en donner un »   Par Hippolyte Ducos Député , ancien ministre, président de la commission de renseignement à l’Exp
28 ce très curieux morceau lyrique, notre honorable député avait-il conscience de soulever l’un des problèmes les plus impressio
29 ue l’on cherchait en vain parmi les métaphores du député . Il est juste, il est nécessaire de mettre l’esprit à sa place — s’é
30 upent, que ne louez-vous le désintéressement d’un député et d’un littérateur qui se consacrent à la défense du spirituel ? La
31 s’étonner de son triomphe universel. Professeurs, députés ou commissaires, ils croient tous tant qu’ils sont que l’esprit est u
32 trouve, par une sorte de chance, que l’article du député n’est pas seulement l’illustration de cette erreur, mais la confirmat
33 s. La preuve en est administrée chaque fois qu’un député ou un ministre, un directeur de grand journal à la solde des maîtres
22 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
34 n blâme cet instituteur. Qui va se plaindre à son député . Lequel interpelle les communes. Qui à leur tour infligent un blâme à
23 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
35 rieur était en droit de nommer définitivement les députés . Le vote revenait donc à dire oui ou non à la politique nationale-soc
36 « démocratie » le gouvernement du peuple par des députés livrés à toutes les intrigues des puissances occultes. En réalité, la
24 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
37 directe, abandonnée aux comités électoraux et aux députés , des millions de citoyens s’excitent sur les hebdomadaires de droite
25 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
38 s d’action de la gauche. Qu’on se rappelle Noske, député socialiste, porté par la révolte des marins allemands, en 1918, au po
26 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
39 es, à l’entrée du « Palais de l’Esprit », par des députés égrillards ! Mais je vais sans doute un peu vite. Et le lecteur souci
27 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
40 s, à l’entrée du « Palais de l’Esprit5 », par des députés égrillards ! Mais je vais sans doute un peu vite. Et le lecteur souci
28 1937, Articles divers (1936-1938). À qui la liberté ? (5 mars 1937)
41 rtes de sens intermédiaires dans la bouche de nos députés et journalistes, qui flétrissent (à droite) ou approuvent (à gauche)
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
42 ns de personnes jouent un rôle : on aime avoir un député instruit. Mais ce n’est pas pour qu’il dise des choses intelligentes,
43 qu’ont joué dans l’affaire le sous-préfet, ou le député , ou divers margoulins, topazes, etc. Si l’on a le temps, il n’est pas
44 raissent dans l’île. L’un est aux mains de M. T…, député de droite, et des « curés ». L’autre est « républicain et antifascist
30 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
45 ce fait curieux : il n’y a plus de ciné à A…) Le député socialiste, maire de N…, et deux autres militants socialistes et comm
31 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
46 ns de personnes jouent un rôle : on aime avoir un député instruit. Mais ce n’est pas pour qu’il dise des choses intelligentes,
47 qu’ont joué dans l’affaire le sous-préfet, ou le député , ou divers margoulins, topazes, etc. Si l’on a le temps, il n’est pas
48 raissent dans l’île. L’un est aux mains de M. T…, député de droite, et des « curés ». L’autre est « républicain et antifascist
32 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
49 ité. 81. Ce fut le cas en 1814-1815, lorsque les députés de la Confédération demandèrent au congrès de Vienne la reconnaissanc
33 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
50 récision terrible. Le Prussien Anacharsis Cloots, député jacobin de l’Oise, passe pour avoir inspiré Robespierre. La Conventio
34 1938, Journal d’Allemagne. Appendice ii Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
51 rieur était en droit de nommer définitivement les députés . Le vote revenait donc à dire oui ou non à la politique nationale-soc
52 nt « démocratie » le gouvernement du pays par des députés livrés à toutes les intrigues des puissances occultes. En réalité, l
35 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
53 à Stans. Tout accord se révèle impossible, et les députés se séparent sur une menace de guerre civile entre cités et petits can
54 , le curé redescendu à Stans parvint à réunir les députés , et leur transmit dans une séance secrète les conseils de Nicolas. Mi
36 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
55 es s’organiseront en fédérations, délégueront des députés à des synodes, et il n’y aura pas de pape pour unifier temporellement
37 1939, Nicolas de Flue. [PERSONNAGES]
56 des compagnons de la Follevie. chœur d’enfants. députés , soldats suisses et assistants.
38 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
57 n. —  C’est bien. Les sièges sont solides. Si les députés ont la tête aussi bien plantée que le derrière, on peut compter que l
58 ine vos plaines ! (Aux Suisses.) Allez dire à nos députés que tout est disposé pour la séance solennelle. (Il sort avec les Su
59 -dessous des sièges.) Les soldats. —  Place aux députés  ! La Diète va s’ouvrir ! Arrière ! Silence ! (Entrent les députés, e
60 e va s’ouvrir ! Arrière ! Silence ! (Entrent les députés , en cortège. Ils vont prendre place sur les sièges. Derrière chacun d
61 annière du canton représenté.) Le président. —  Députés des campagnes et des villes, représentants des huit cantons confédéré
62 usser les compagnons. Ceux-ci s’élancent vers les députés et les chassent, puis renversent et brisent les sièges. Chant des Com
63 eculent à gauche et à droite du plan 1 et que les députés disparaissent.) (Nuit sur le plan 2. Lueur au plan 3. Batterie de tam
64 claire peu à peu, on voit paraître des groupes de députés , des soldats, les ambassadeurs.) Nicolas. —  Haimo, je ne puis plus
65 us avancer. Je vais te dicter un message pour les députés . Ensuite tu me laisseras sur le bord du chemin. Et tu courras leur cr
66 olonté se fasse ! Scène ix. (Plan 2.) Un député . —  Les chevaux sont-ils sellés ? Des voix. —  Sellés ! Un amba
67 Claus ! Tous. —  Halte ! Halte ! Haimo. —  Députés des huit cantons, je vous adjure de par Dieu ! vous assembler une der
68  ! Les compagnons. —  Hou ! Hou ! Hou ! Les députés . —  De par Dieu ! nous t’entendrons ! (Ils sortent avec Haimo. Les d
69 an 2, atteint le plan 3. Appel de trompettes. Les députés précédés par Haimo reparaissent et viennent se ranger au centre de la
70 les bonnes villes de Fribourg et de Soleure. Les députés doivent emporter le souvenir de la fidélité, des peines et travaux qu
39 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
71 euple que le simple message qu’il transmettra aux députés , lors de la fameuse Diète de Stans, sauvera la situation in extremis.
40 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
72 es s’organiseront en fédérations, délégueront des députés à des synodes, et il n’y aura pas de pape pour unifier temporellement
41 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
73 40.) 29. Ce fut le cas en 1814-1815, lorsque les députés de la Confédération demandèrent au congrès de Vienne la reconnaissanc
42 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). V. Des hommes nouveaux !
74 e, quelle que soit leur bonne volonté. Il y a des députés et des journalistes qui redoutent par-dessus tout qu’une union nouvel
43 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
75 istinction des compétences : il est absurde qu’un député nommé pour ses opinions politiques ait à se prononcer sur des questio
44 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
76 es s’organiseront en fédérations, délégueront des députés à des synodes, et il n’y aura pas de pape pour unifier temporellement
45 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
77 victimes de la crise que ce n’est pas la faute du député local ni de « l’hypocrisie américaine ». Que faire ? Tout le monde ne
46 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
78 s, l’une formée de délégués des États, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le
47 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
79 t d’un loisir intense. Or, ils ont à recevoir des députés … Seule, une cour internationale, formée d’hommes désignés par la voie
48 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
80 ictimes de la crise que ce n’est pas la faute des députés ni de l’« hypocrisie américaine »… Que faire ? Tout le monde ne peut
49 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
81 idéaux en fait, elle transforme des candidats en députés , des programmes en combines, des promesses en oublis. Je pense aux él
50 1946, Lettres sur la bombe atomique. IX. Paralysie des hommes d’État
82 nt d’un loisir intense. Or ils ont à recevoir des députés … Seule une cour internationale, formée d’hommes désignés par la voix
51 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIII. La pensée planétaire
83 victimes de la crise que ce n’est pas la faute du député local ni de « l’hypocrisie américaine ». Que faire ? Tout le monde ne
52 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVIII. La paix ou la mort
84 s, l’une formée de délégués des États, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le
53 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
85 s, l’une formée de délégués des États, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le
54 1946, Lettres sur la bombe atomique. IX . Paralysie des hommes d’État
86 nt d’un loisir intense. Or ils ont à recevoir des députés . Seule une cour internationale, formée d’hommes désignés par la voie
55 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIII . La pensée planétaire
87 victimes de la crise que ce n’est pas la faute du député local ni de « l’hypocrisie américaine ». Que faire ? Tout le monde ne
56 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVIII . La paix ou la mort
88 s, l’une formée de délégués des États, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
89 es présentant les armes. À ce salut, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout des doigts, crainte,
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
90 s anciens jeunes militants de nos groupes devenus députés ou ministres, ce sont toutes nos idées maîtresses qui vont dominer l’
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
91 ns de personnes jouent un rôle : on aime avoir un député instruit. Mais ce n’est pas pour qu’il dise des choses intelligentes,
92 qu’ont joué dans l’affaire le sous-préfet, ou le député , ou divers margoulins, topazes, etc. Si l’on a le temps, il n’est pas
93 raissent dans l’île. L’un est aux mains de M. T…, député de droite, et des « curés ». L’autre est « républicain et antifascist
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
94 il n’y a plus une seule salle de cinéma à A…) Le député socialiste, maire de N…, et deux autres militants socialistes et comm
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
95 récision terrible. Le Prussien Anacharsis Cloots, député jacobin de l’Oise, passe pour avoir inspiré Robespierre. La Conventio
62 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
96 ations analogues, devant lesquelles tremblent les députés , les pasteurs, les magnats du cinéma. Ce « tonitruant troisième sexe 
63 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
97 rimée dans toutes ses nuances par des lettres aux députés et aux journaux, des articles de magazines, des interviews, des débat
64 1947, Vivre en Amérique. III. Vie privée
98 ations analogues, devant lesquelles tremblent les députés , les pasteurs, les magnats du cinéma. Ce « tonitruant troisième sexe 
65 1948, Articles divers (1946-1948). Les deux blocs ? Il n’en existe qu’un (9 janvier 1948)
99 oyen de donner des ordres à nos masses ou à leurs députés . L’URSS possède une doctrine très précise dont elle se sert comme d’u
66 1948, Suite neuchâteloise. III
100 en d’un Comité composé du Conseil de Ville et des Députés de Vallengin… » La ville de Neuchâtel jouit de privilèges très consid
101 intement considérés » avec les Trois États et les députés de Valangin, les vingt et une Cours de justice locales, les Châtelain
67 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
102 oyen de donner des ordres à nos masses ou à leurs députés . L’URSS possède une doctrine très précise dont elle se sert comme d’u
68 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
103 ambre des communes nous enverra plus de cinquante députés , dont une trentaine de travaillistes, parmi lesquels les chefs des de
104 an, un Lord Bishop qui représente Canterbury, des députés socialistes anglais, un joyeux anarchiste italien, des ministres alle
105 ixante ministres et anciens ministres, deux-cents députés aux parlements européens, et six-cents autres délégués de vingt-cinq
106 mois, par le suffrage universel, et à raison d’un député par million d’habitants, une Assemblée constituante de l’Europe. La m
107 ys, grand ou petit, y nommerait le même nombre de députés .) ⁂ J’ai souligné les divergences, les hésitations, les conflits : no
108 ès. 6. Sauf Churchill. 7. Mais il faudrait deux députés au lieu d’un par million d’habitants ; et modifier plusieurs constitu
69 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
109 inistres et anciens ministres, près de deux-cents députés aux divers parlements européens, des syndicalistes et des grands patr
70 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
110 rope, qui doit se tenir en septembre, et dont les députés seront nommés par les parlements. 2. (Réd. — Nous devons à l’obligea
71 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Statut du Conseil de l’Europe (9 mai 1949)
111 ns trois mois à Strasbourg. Elle sera composée de députés désignés par les parlements de douze pays, et choisis dans ces parlem
112 fait que je voudrais souligner avec vigueur : ces députés ne voteront pas au nom de leur pays ou de leur gouvernement, mais au
113 voulions une plus vaste Assemblée, comprenant 300 députés  : on nous accorde avec difficulté un Parlement de 87 membres, c’est m
114 rcer les résistances égoïstes, pourra pousser les députés européens à proclamer un jour, à la face des États : nous sommes ici
72 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Suisse et l’Europe (IV) (20 juin 1949)
115 r dans la ville où siégeait la Diète fédérale, un député du Tessin ou des Grisons mettait deux ou trois jours de voyage. Pour
116 r arriver au Parlement de Strasbourg, cet été, un député grec ou suédois mettra moins d’un jour. La rapidité des communication
73 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Faisons le point (4 juillet 1949)
117 un groupe fédéraliste qui compte déjà plus de 150 députés . Parmi eux seront choisis les représentants français à l’Assemblée co
74 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
118 tre du champ des clichés. ⁂ La réunion de cent-un députés , régulièrement élus par les parlements de douze pays, matérialisa le
119 Le règlement l’a prévenu, fort heureusement. Les députés siègent en effet par ordre alphabétique, non par groupes nationaux. I
120 ogrès surprenants de l’idée fédéraliste parmi les députés européens sont attestés par un fait capital : la Commission des affai
121 ce, etc., prodigués (en anglais généralement) aux députés européens. Dès sa prochaine session, l’Assemblée sera saisie d’un pla
122 étonnera pas, si l’on sait que les deux tiers des députés qui siégeaient à Strasbourg appartiennent à notre Mouvement et ont pr
75 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — « Êtes-vous satisfait de Strasbourg ? » (3 octobre 1949)
123 uvement européen. À vrai dire, les deux tiers des députés , à Strasbourg, se trouvaient être membres du Mouvement, et cette cons
124 erne, on avait réservé un hémicycle pour les cent députés , 101 exactement, mais le public, toujours nombreux, remplissait le re
125 cycle rappelait la Chambre française, mais chaque député parlait de sa place, comme à la Chambre des communes, et l’atmosphère
76 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les résultats de Strasbourg (10 octobre 1949)
126 fondamentales de chaque personne. C’est un jeune député et ministre français, l’énergique Pierre-Henri Teitgen, qui a présent
127 Assemblée consultative. Or celle-ci se compose de députés régulièrement élus par douze parlements européens. La plupart de ces
77 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Que pouvez-vous faire ? (17 octobre 1949)
128 r 800 Européens unanimes, militants ou ministres, députés ou « simples pékins » et dont je vous relis le dernier paragraphe :
129 rtis en auront ainsi décidé ils mandateront leurs députés pour voter dans ce sens au Parlement. Et nous serons alors à la veill
78 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Suisse et Strasbourg (31 octobre 1949)
130 u Conseil de l’Europe, et nommer à Strasbourg des députés  ? Pour quelle raison s’est-elle abstenue jusqu’ici ? Comment peut-on
79 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Suisse et Strasbourg (II) (14 novembre 1949)
131 e partie du Conseil de l’Europe, et d’envoyer des députés à l’Assemblée consultative, mais encore, la neutralité, que nous somm
132 e déclaration surprendra, choquera sans doute les députés européens. Car il faut bien que nous le sachions. En Suisse : notre n
80 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — De l’Europe au monde (20 mars 1950)
133 tes. D’une part, une cinquantaine de sénateurs et députés américains viennent de déposer une résolution demandant l’union des É
81 1950, Articles divers (1948-1950). Un gage à Jean Paulhan ! (avril 1950)
134 ourg qu’une trentaine de fédéralistes sur cent-un députés .) 3° La Grèce fait partie du Conseil de l’Europe, depuis le 11 août 1
82 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Avant Strasbourg (26 juin 1950)
135 ’ouvrira le 8 août. Elle sera décisive. Formée de députés régulièrement élus par 15 parlements de l’Europe, cette Assemblée con
136 r, mais de croire à son existence. Je ne suis pas député , et mon pays d’ailleurs n’est pas représenté à Strasbourg. Je n’ai do
137 , voici quel serait mon discours : Messieurs les députés européens ! vous êtes ici pour faire l’Europe, et non pour faire semb
138 s nomme les fédéralistes. Eh bien ! Messieurs les députés européens, si vous n’êtes pas fédéralistes, allez-vous-en ! Si vous l
83 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
139 Première lettre Messieurs les députés européens, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et non pour faire sembl
140 t, n’a pas fléchi durant un siècle. Messieurs les députés , neuf mois avaient suffi pour fédérer 25 États souverains. Pensez‑vou
141 de nommer le daltonisme politique. Messieurs les députés , n’oubliez pas la Suisse : elle existe en dépit de tous les arguments
84 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
142 Deuxième lettre Messieurs les députés , Ces lettres ne sont pas un cahier de doléances ou de revendications.
85 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
143 Troisième lettre Messieurs les députés européens, J’ai tenté de traduire le sentiment des peuples en face de
144 par avance, je vous salue. Vous êtes, Messieurs, députés de l’Europe. Essayons de mesurer la grandeur de ce titre. Députés de
145 ope. Essayons de mesurer la grandeur de ce titre. Députés de l’Europe entière, voilà qui signifie, Messieurs, que vous avez per
146 énaire de nos fils. Vous n’êtes pas seulement les députés de quinze villes capitales, et de cent-vingt provinces, et de la géné
147 assemblent ou divisent les vivants, vous êtes les députés d’une aventure humaine qui tente à travers vous, dans l’angoisse et l
148 uvelle. Que vous le sachiez ou non, vous êtes les députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Les députés de la conscience la p
149 s députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Les députés de la conscience la plus inquiète que l’homme ait jamais prise de son
150 de son destin et des chances de le surmonter. Les députés non point d’une presqu’île de l’Asie un peu plus grande que la Corée,
151 ilosophes. De tout cela, Messieurs, vous êtes les députés . On attend de vous l’invention qui sauve la paix du monde, et qui mai
152 ontrepoint de l’Europe. Vous êtes, Messieurs, les députés de Mozart, de l’opéra, des symphonies et des Passions ; les députés d
153 de l’opéra, des symphonies et des Passions ; les députés de Goethe et de la littérature ; de Descartes et des philosophes ; d’
154 des savants ; de Rembrandt et des peintres ; les députés aussi des auteurs anonymes de la Magna Charta et du Pacte du Grütli,
155 s pour en faire la force du siècle. Messieurs les députés européens, saurez‑vous mériter votre nom ? On attend de vous la grand
86 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
156 lée consultative, Quelqu’un qui ne se sent pas le député de Mozart, ni d’Athènes, ni de Rome, ni de rien à vrai dire de ce qu’
157 r garder la souveraineté du leur ?) Messieurs les députés , ce serait pure folie que d’essayer de sauver ce qui s’en va, au prix
87 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
158 Cinquième lettre Messieurs les députés de l’Europe à sauver ! Ceux qui disent que « l’Europe sera socialiste
159 l’opinion qui ne parle pas encore. Messieurs les députés , vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés, car les vrais
160 tés, vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés , car les vrais sont élus, et vous êtes simplement délégués pour consu
161 e organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier parlement de l’Europe. Les partis présenteront leurs candi
162 dace. Donnez-nous la Constitution ! Messieurs les députés , faut-il vous dire encore que je ne suis rien qu’une voix presque dés
163 le, souveraine au-dessus des États. Messieurs les députés européens, je vous salue d’un vœu qui voudrait résumer celui de tous
88 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
164 Lettre aux députés européens (15 août 1950)p Messieurs les députés européens, Vous êt
165 éputés européens (15 août 1950)p Messieurs les députés européens, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et non pour faire sembl
166 t, n’a pas fléchi durant un siècle. Messieurs les députés , neuf mois avaient suffi pour fédérer vingt-cinq États souverains… Pe
167 de nommer le daltonisme politique. Messieurs les députés , n’oubliez pas la Suisse ; elle existe en dépit de tous les arguments
168 mée rouge. p. Rougemont Denis de, « Lettre aux députés européens », Journal de Genève, Genève, 15 août 1950, p. 1.
89 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
169 Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)q Messieurs les députés, Ces lettres ne so
170 éputés européens (16 août 1950)q Messieurs les députés , Ces lettres ne sont pas un cahier de doléances ou de revendications.
171 . q. Rougemont Denis de, « Deuxième lettre aux députés européens », Journal de Genève, Genève, 16 août 1950, p. 1.
90 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
172 Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)r Messieurs les dé
173 ueil de l’Europe (17 août 1950)r Messieurs les députés européens, J’ai tenté de traduire le sentiment des peuples en face de
174 par avance, je vous salue. Vous êtes, Messieurs, Députés de l’Europe. Essayons de mesurer la grandeur de ce titre. Députés de
175 ope. Essayons de mesurer la grandeur de ce titre. Députés de l’Europe entière, voilà qui signifie, Messieurs, que vous avez per
176 énaire de nos fils. Vous n’êtes pas seulement les députés de quinze villes capitales, et de cent-vingt provinces, et de la géné
177 assemblent ou divisent les vivants, vous êtes les députés d’une aventure humaine qui tente à travers vous, dans l’angoisse et l
178 uvelle. Que vous le sachiez ou non, vous êtes les députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Les députés de la conscience la p
179 s députés d’Athènes, de Rome et de Jérusalem. Les députés de la conscience la plus inquiète que l’homme ait jamais prise de son
180 de son destin et des chances de le surmonter. Les députés non point d’une presqu’île de l’Asie un peu plus grande que la Corée,
181 ilosophes. De tout cela, Messieurs, vous êtes les Députés . On attend de vous l’invention qui sauve la paix du monde, et qui mai
182 ontrepoint de l’Europe. Vous êtes, Messieurs, les députés de Mozart, de l’opéra, des symphonies et des Passions ; les députés d
183 de l’opéra, des symphonies et des Passions ; les députés de Goethe et de la littérature ; de Descartes et des philosophes ; d’
184 des savants ; de Rembrandt et des peintres ; les députés aussi des auteurs anonymes de la Magna Charta et du Pacte du Grütli,
185 s pour en faire la force du siècle. Messieurs les députés européens, saurez-vous mériter votre nom ? On attend de vous la grand
186 r. Rougemont Denis de, « Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe », Journal de Genève, Genève, 17 ao
91 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
187 Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)s
188 lée consultative, Quelqu’un qui ne se sent pas le député de Mozart, ni d’Athènes, ni de Rome, ni de rien à vrai dire de ce qu’
189 r garder la souveraineté du leur ?) Messieurs les députés , ce serait pure folie que d’essayer de sauver ce qui s’en va, au prix
190 s. Rougemont Denis de, « Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party », Journal de Genèv
92 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
191 Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)t Messieurs l
192 votre nom ! » (19-20 août 1950)t Messieurs les députés de l’Europe à sauver ! Ceux qui disent que « l’Europe sera socialiste
193 l’opinion qui ne parle pas encore. Messieurs les députés , vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés, car les vrais
194 tés, vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés , car les vrais sont élus, et vous êtes simplement délégués pour consu
195 e organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présenteront leurs candi
196 dace. Donnez-nous la Constitution ! Messieurs les députés , faut-il vous dire encore que je ne suis rien qu’une voix presque dés
197 le, souveraine au-dessus des États. Messieurs les députés européens, je vous salue d’un vœu qui voudrait résumer celui de tous
198 t. Rougemont Denis de, « Cinquième lettre aux députés européens : “Méritez votre nom !” », Journal de Genève, Genève, 19–20
93 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’atmosphère de Strasbourg (11 septembre 1950)
199 s membres, et d’une Assemblée consultative de 125 députés , élus par les parlements nationaux. Le rôle de l’Assemblée consiste à
200 , un jour, peut se fâcher, et dire clairement aux députés  : faites quelque chose tout de suite, ou bien allez-vous-en ! Or les
201 a ce qu’elle veut, avec clarté, avec passion, les députés suivront, les ministres obéiront, et tout d’un coup, malgré les argum
94 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’armée européenne (18 septembre 1950)
202 hurchill fut mis en discussion plus détaillée, un député anglais, M. James Callaghan, se leva pour faire observer que l’articl
95 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Une autorité politique européenne (25 septembre 1950)
203 ession de l’Assemblée de Strasbourg, cet été, les députés n’ont pas cessé de recevoir des centaines de lettres de simples citoy
204 , en faisant imprimer une brochure de lettres aux députés européens où je les priais sur tous les tons d’agir ou de s’en aller.
205 biance de l’Assemblée, à faire sentir à plusieurs députés que l’opinion publique les suivait du regard, à renforcer les convict
206 uite à peu de chose quand on vote. La plupart des députés préfèrent à la formule d’un gouvernement européen, celle d’une série
96 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Serment de Strasbourg (2 octobre 1950)
207 ais ? À Strasbourg, cet été, un certain nombre de députés ont envisagé cette question, et tenté d’y répondre par un acte. Le ré
208 us allez le voir. L’idée qui animait ce groupe de députés , et à laquelle Daniel Villey et quelques-uns de mes amis n’étaient pa
209 tie la plus précieuse de la planète. Un groupe de députés parmi lesquels on remarquait MM. André Philip, Paul Reynaud et Jacque
210 griculture, des Transports, et de la Justice. Les députés se disaient décidés à prêter le serment suivant : Nous soussignés, N
211 ape vers l’unité de l’Europe. Une soixantaine de députés se déclarèrent d’accord. Le serment devait être prêté hors de l’encei
212 lui-même se divisa. Bref, il ne resta plus que 12 députés décidés à prendre leurs responsabilités personnelles. Le projet fut p
97 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
213 de la Suisse (3 octobre 1950)n o Messieurs les députés européens, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et nous pour faire semb
214 t, n’a pas fléchi durant un siècle. Messieurs les députés , neuf mois avaient suffi pour fédérer 25 États souverains. Pensez-vou
215 de nommer le daltonisme politique. Messieurs les députés , n’oubliez pas la Suisse : elle existe en dépit de tous les arguments
216 ami Denis de Rougemont écrivit à l’intention des députés réunis à Strasbourg. La session d’été de l’Assemblée européenne est t
98 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
217 l’opinion qui ne parle pas encore. Messieurs les députés , vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés, car les vrais
218 tés, vous le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés , car les vrais sont élus, et vous êtes simplement délégués pour consu
219 e organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présenteront les candida
220 dace. Donnez-nous la Constitution ! Messieurs les députés , faut-il vous dire encore que je ne suis rien qu’une voix presque dés
221 le, souveraine au-dessus des États. Messieurs les députés européens, je vous salue d’un vœu qui voudrait résumer celui de tous
222 urd’hui le deuxième extrait des cinq Lettres aux députés européens que Denis de Rougemont écrivit à l’occasion de la session
99 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’opinion et l’Europe (16 octobre 1950)
223 . Si chacun d’entre vous, ce soir, écrivait à son député  : « Faites l’Europe, ou renoncez à ma voix », les choses changeraient
100 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un Conseil européen de vigilance (13 novembre 1950)
224 on impatiente et irrite de plus en plus nombre de députés européens. Nous allons voir dans quelques jours s’ils ont le courage
225  L’Europe doit se fédérer, ou périr. » Si j’étais député à Strasbourg, je me lèverais pour lui demander bien poliment ce qu’il
226 nt organisé une marche sur Strasbourg. Ainsi, les députés européens ne seront plus seuls. Ils se sentiront, selon les cas, surv