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eu avec ceux-là… Enfin, l’ultime raison de ne pas
désespérer
, cinq ou six poètes. 4. « Quelque grande que soit » mon envie — comm
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iste plus, l’Hermétique Société18 de ceux qui ne
désespèrent
pas encore du Grand Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des
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omphera désormais. Mais une action qui par avance
désespère
du seul succès qui pour Faust serait réel : la possession bienheureus
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xiste plus, l’Hermétique Société13 de ceux qui ne
désespèrent
pas encore du Grand Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des
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xiste plus, l’Hermétique Société10 de ceux qui ne
désespèrent
pas encore du Grand’Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des
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ebout quand il n’a fait que truquer les repères ;
désespérer
les optimistes en leur montrant de quel prix dérisoire ils ont cru pa
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and rentre sous terre, pour éviter Amiel. Faut-il
désespérer
de le revoir jamais ? Mais non, il faut lire d’abord Pierre Girard et
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n’exigeait rien. Cet être-là, fatalement, devait
désespérer
de soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la guerre, reparaîtr
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é à des impasses mortelles, celles-là mêmes où se
désespère
le xxe siècle. Mais avant que d’y venir, et suivant l’ordre d’une Hi
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’est pas un ange, ni une sainte. Elle pèche, elle
désespère
, elle touche le fond de la détresse humaine. C’est un vieux pasteur u
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he : « Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’hommes qui “se hâte”. » 15. I Pierre 3 :15. Version de C
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n’exigeait rien. Cet être-là, fatalement, devait
désespérer
de soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la guerre, reparaîtr
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n’exigeait rien. Cet être-là, fatalement, devait
désespérer
de soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la guerre, reparaîtr
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humanitaire des communistes, Léon Blum tremble et
désespère
devant la perspective prochaine d’une prise de pouvoir légal, qui est
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la forme du monde. Mais la subir, c’est justement
désespérer
. Il faudrait donc… la créer ? « L’homme ne peut faire qu’une seule ch
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ndividualistes, bourgeoises ou marxistes. Mais je
désespère
presque de donner la moindre « idée » de la réalité nationale-sociali
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va du succès même de la révolution personnaliste.
Désespérer
de faire comprendre aux Français la vraie nature des régimes étranger
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erre civile la plus absurde de l’histoire ; c’est
désespérer
de la France et de sa mission en Europe ; et ce serait pour nous dése
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de sa mission en Europe ; et ce serait pour nous
désespérer
de nos positions les plus fondamentales. Tout nous porte d’ailleurs à
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t dépit, d’un profond pessimisme de la pensée qui
désespère
d’atteindre et de mouvoir effectivement les hommes. Cas de Nietzsche,
21
t il a cru pouvoir vivre lui-même et dont il faut
désespérer
qu’il guérisse jamais, maintenant qu’il les voit confirmées par le Pe
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ct ! « Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui se hâte », écrivait Nietzsche. Nous dirions : Ne
23
ions : Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui demande à la lecture une évasion, un stupéfiant,
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t dépit, d’un profond pessimisme de la pensée qui
désespère
d’atteindre et de mouvoir effectivement les hommes. Cas de Nietzsche,
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aise. Alors, qui osera dire qu’il est trop tard ?
Désespérer
de la paix, c’est rendre une guerre fatale. Désespérer de la révoluti
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pérer de la paix, c’est rendre une guerre fatale.
Désespérer
de la révolution française, c’est désespérer de la paix. Et c’est pré
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ale. Désespérer de la révolution française, c’est
désespérer
de la paix. Et c’est précisément parce qu’il est trop tard pour empêc
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t dépit, d’un profond pessimisme de la pensée qui
désespère
d’atteindre et de mouvoir effectivement les hommes. Cas de Nietzsche,
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t il a cru pouvoir vivre lui-même et dont il faut
désespérer
qu’il guérisse jamais, maintenant qu’il les voit confirmées par le Pe
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ct ! « Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui se hâte », écrivait Nietzsche. Nous dirions : Ne
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ions : Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui demande à la lecture une évasion, un stupéfiant,
32
rs on donnerait beaucoup pour une bonne raison de
désespérer
, pour une bonne et impérieuse raison d’abandonner cette partie mal en
33
. Voilà la limite impensable. Quand on en vient à
désespérer
d’un peuple, d’un régime, ou de soi-même, quand on prêche et proclame
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rs on donnerait beaucoup pour une bonne raison de
désespérer
, pour une bonne et impérieuse raison d’abandonner cette partie mal en
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vaise. On me dira sans doute qu’il est trop tard.
Désespérer
de la paix, c’est rendre une guerre fatale. Désespérer de la révoluti
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pérer de la paix, c’est rendre une guerre fatale.
Désespérer
de la révolution fédéraliste, c’est désespérer de la paix. Et c’est p
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e. Désespérer de la révolution fédéraliste, c’est
désespérer
de la paix. Et c’est précisément parce qu’il est trop tard pour empêc
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élité, — alors qu’on voit tout au contraire qu’il
désespère
de ne point l’être assez. Il proclame un besoin d’être libre qui trad
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viiie . C’est la « voie négative » d’un athée qui
désespère
d’échapper à ses liens, et qui défie l’amour spirituel de se manifest
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ne profonde ambiguïté se manifeste. Tout invite à
désespérer
? Mais l’espoir est toujours « malgré tout », et c’est alors qu’il es
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délité — alors qu’on voit tout au contraire qu’il
désespère
de ne point l’être assez. Il proclame un besoin d’être libre qui trad
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viiie . C’est la « voie négative » d’un athée qui
désespère
d’échapper à ses liens, et qui défie l’amour spirituel de se manifest
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délité — alors qu’on voit tout au contraire qu’il
désespère
de ne point l’être assez. Il proclame un besoin d’être libre qui trad
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viiie . C’est la « voie négative » d’un athée qui
désespère
d’échapper à ses liens, et qui défie l’amour spirituel de se manifest
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n s’écoula, sans progrès. Le médecin commençait à
désespérer
, il envisageait même d’abandonner la cure. (Et vous savez pourtant si
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n s’écoula, sans progrès. Le médecin commençait à
désespérer
, il envisageait même d’abandonner la cure. (Et vous savez pourtant si
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n s’écoula, sans progrès. Le médecin commençait à
désespérer
, il envisageait même d’abandonner la cure. (Et vous savez pourtant si
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phera désormais. Mais une action qui, par avance,
désespère
du seul succès réel pour Faust : la possession bienheureuse de l’inst
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la forme du monde, mais la subir, c’est justement
désespérer
. Il faudrait donc… la recréer ? L’homme ne peut faire qu’une seule c
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ongue de l’année, parce qu’il n’y avait plus qu’à
désespérer
, l’espoir est né. Démonstration d’une puissance indémontrable, et don
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ongue de l’année, parce qu’il n’y avait plus qu’à
désespérer
, l’espoir est né. Démonstration d’une puissance indémontrable, et don
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ongue de l’année, parce qu’il n’y avait plus qu’à
désespérer
, l’espoir est né. Démonstration d’une puissance indémontrable, et don
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ne profonde ambiguïté se manifeste. Tout invite à
désespérer
? Mais l’espoir est toujours « malgré tout », et c’est alors qu’il es
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’existe plus, l’Hermétique Société de ceux qui ne
désespèrent
pas encore du Grand Œuvre9 ? Cela seul est certain : qu’il existe des
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rs on donnerait beaucoup pour une bonne raison de
désespérer
, pour une bonne et impérieuse raison d’abandonner cette partie mal en
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. Voilà la limite impensable. Quand on en vient à
désespérer
d’un peuple, d’un régime, ou de soi-même, quand on prêche et proclame
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ne profonde ambiguïté se manifeste. Tout invite à
désespérer
? Mais l’espoir est toujours « malgré tout », et c’est alors qu’il es
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ue, le superstitieux simplement sera celui qui ne
désespère
pas de trouver quelque sens acceptable sous l’uniforme absurdité de c
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nvie. N’est-ce pas assez ? Avons-nous le droit de
désespérer
de notre civilisation et de notre avenir à tous, quand nous regardons
60
s ou de mon incroyance, ou même de ces raisons de
désespérer
auxquelles je tiens contre le monde et contre Dieu — la négation de m
61
s une seule et même démission de la personne, qui
désespère
de ses pouvoirs d’innovation et de toute espèce de recours au transce
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s ou de mon incroyance, ou même de ces raisons de
désespérer
auxquelles je tiens contre le monde et contre Dieu — la négation de m
63
s une seule et même démission de la personne, qui
désespère
de ses pouvoirs d’innovation et de toute espèce de recours au transce
64
, à supprimer le facteur de résistance humaine, à
désespérer
d’une manière exemplaire — convainquant les lecteurs qu’il voulait ré
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ouveront d’âge sortable les uns aux autres. Je ne
désespère
pas si je vous vois goûter à bon escient mes ouvertures, et en embras
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Europe, ou du moins l’avenir de ces Européens qui
désespéraient
de réussir sur leur sol l’union nécessaire. C’est ce que Benjamin Fra
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uvent et n’en désirent pas moins la liberté : ils
désespèrent
presque de voir jamais le rétablissement de l’Europe et lisent avec i
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ont vraiment le peuple de Dieu, ces hommes qui ne
désespèrent
pas encore de la racine humaine, et veulent lui conserver l’empire de
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ut du xixe siècle. Pourtant nous aurions tort de
désespérer
de l’Europe, car elle reste la terre décisive, si l’on pense que c’e
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nt de surévaluer follement un certain passé ou de
désespérer
follement du présent ou enfin d’espérer follement en l’avenir ; mais
71
, s’en fut à Rhodes, puis en Thrace ; et comme il
désespérait
de retrouver sa sœur pour la ramener aux rives maternelles de l’Asie,
72
onne partie de l’élite intellectuelle occidentale
désespère
bruyamment de nos valeurs et dénie toute espèce de vocation à l’Occid
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, s’en fut à Rhodes, puis en Thrace ; et comme il
désespérait
de retrouver sa sœur pour la ramener aux rives maternelles de l’Asie,
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onne partie de l’élite intellectuelle occidentale
désespère
bruyamment de nos valeurs et dénie toute espèce de vocation à l’Occid
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, à supprimer le facteur de résistance humaine, à
désespérer
d’une manière exemplaire — convainquant les lecteurs qu’il voulait ré
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très graves à mes propres thèses, des raisons de
désespérer
de mon entreprise, et d’autres raisons (pour l’instant légèrement maj
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enis de Rougemont est là pour nous aider à ne pas
désespérer
complètement de l’esprit. ag. Rougemont Denis de, « [Entretien] L
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eux, soit qu’il n’en ait aucune envie, soit qu’il
désespère
d’en avoir les moyens, ou nie que ces moyens puissent même exister. L
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ement. Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui se hâte ! [voilà pour l’annonce que je vous cita
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e veulent « cartésiens » ? Il nous faudrait alors
désespérer
de toute union vivante de l’Europe. Car il n’y a pas d’union et pas d
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oi-même dans la masse. Nous vous prions de ne pas
désespérer
de l’Europe malade. Ce serait désespérer de votre propre civilisation
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e ne pas désespérer de l’Europe malade. Ce serait
désespérer
de votre propre civilisation, de son essence. L’Europe dispose encore
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gir sur eux, soit qu’il n’en ait aucune envie, ou
désespère
d’en avoir les moyens, ou nie que ces moyens puissent même exister. L
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gir sur eux, soit qu’il n’en ait aucune envie, ou
désespère
d’en avoir les moyens, ou nie que ces moyens puissent exister. Et cep
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act ! “Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui se hâte”, écrivait Nietzsche. Nous dirions : Ne
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ions : Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui demande à la lecture une évasion, un stupéfiant,
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démence hitlérienne n’a jamais réussi à le faire
désespérer
. Réélu député de la Moselle dès 1945, trois fois ministre des Finance
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haque époque s’amuse à inventer. Les scolastiques
désespéraient
leurs étudiants en demandant si Dieu, dans sa Toute-Puissance, avait
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ct ! « Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui se hâte », écrivait Nietzsche. Nous dirions : Ne
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ions : Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait
désespérer
l’espèce d’homme qui demande à la lecture une évasion, un stupéfiant,
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ont vraiment le peuple de Dieu, ces hommes qui ne
désespèrent
pas encore de la race humaine, et veulent lui conserver l’empire de l