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, sa spiritualité sensuelle. Les avantages et les
dangers
de l’état des mœurs que l’on vient d’esquisser donneraient matière à
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ne sais quelle « vague de barbarie nouvelle ». Le
danger
n’est sans doute pas là. Car il est très possible qu’au contraire de
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qu’il croit condamner… N’est-ce pas cela, le vrai
danger
totalitaire, dans un pays où l’opinion gouverne ? La vraie Cinquième
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r prospérité immédiate. C’est un fait : un énorme
danger
collectif effraye moins que nos petits malheurs individuels. La seule
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avantage de rendre les masses plus conscientes du
danger
de la guerre moderne. » Je lui demande s’il approuve le plan Baruch,
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L’attitude fédéraliste (octobre 1947)p Le
danger
que présente un tel sujet, c’est qu’il risque d’entraîner à des génér
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r, mais sur le plan de l’Europe entière. Le grand
danger
de l’heure présente, pour la Suisse, je le vois dans ce fait qu’elle
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avantage de rendre les masses plus conscientes du
danger
de la guerre moderne. C’est la question même de la guerre qui se trou
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nt. Or, ce totalitarisme m’apparaît comme le pire
danger
auquel nous sommes exposés. Son importance donne la mesure de notre a
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clusion : il n’y a pas de commune mesure entre le
danger
soviétique pour l’Europe et le prétendu danger yankee. La Russie, qui
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le danger soviétique pour l’Europe et le prétendu
danger
yankee. La Russie, qui vise à l’autarcie totalitaire sous la férule d
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uteur voulait détruire, ne court-il pas les mêmes
dangers
que s’il était « condensé » en cinquante pages ? Faut-il crier à l’am