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que chez un homme qui a reconnu et qui accepte le
danger
de penser. On serait parfois tenté de souhaiter qu’en France l’activi
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accidentelles. Ce que je veux dire, c’est que le
danger
de penser est immédiat à l’acte de penser, qui se forge ses fatalités
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ation s’éclaircit. Voici venir le temps des vrais
dangers
, c’est-à-dire des vraies luttes et des vrais engagements. » Concl
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compte sur notre lâcheté pour l’en dispenser. Le
danger
du structuralisme n’est pas que cette doctrine fasse des millions d’a
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e l’Europe est « foutue », qu’elle est « en grand
danger
de crever », qu’elle « agonise », qu’elle « fait eau de toutes parts
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pour mettre en garde contre les illusions et les
dangers
de l’européisme, on ne trouve aujourd’hui en France que deux ou trois
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al et de ses résurgences toujours possibles. À ce
danger
s’ajoute celui de la stérilité d’un effort de « dénonciation » qui, a
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nt échapper au cours des prochaines décennies aux
dangers
énumérés, dont certains sont irréversibles et donc mortels. L’Europe
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quelque chose de tout à fait important. Le grand
danger
que nous avons couru au cours des trente dernières années, en tenant
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d’entreprendre une action qui soit à la mesure du
danger
. Tous ensemble, demain, nous pouvons édifier avec les peuples d’outre
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era pas l’Europe sans informer ses peuples, et du
danger
qu’ils courent, et de la parade puissante que pourrait constituer not
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. Nous demandons que les délégués conscients des
dangers
immédiats se proclament les représentants de la nation européenne et
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l est le rapport de l’homme à la société, à quels
dangers
est-il exposé ? Notre mouvement, qui s’appelait « mouvement personna
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qui se passe aujourd’hui. Vous me demandez quels
dangers
existent pour l’homme ? Eh bien, tout simplement celui de perdre tout
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de toute mon action politique pour l’Europe. Les
dangers
sont innombrables, ils proviennent tous de la même cause, car dans le