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nt, il va falloir choisir. La pensée redevient un
danger
, un facteur de choix et de risque, et non plus un refuge idéal. Ne no
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os camarades marxistes ou racistes ont bien vu le
danger
. Mais ils en tirent une conclusion inattendue. Reprenant le mot de Go
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es autres. Votre réaction est disproportionnée au
danger
. Et d’ailleurs qu’est-ce que cette personne, dont on nous parle tant
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on. — Il y a dans votre position personnaliste un
danger
bien plus grand que celui de l’oligarchie. C’est celui de l’anarchie.
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ssible d’envisager froidement la nature réelle du
danger
. Cet élan d’opinion populaire, guidé par quelques professeurs, peut r
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la papauté, un des vieux rêves de la papauté.
Dangers
du fascisme La cohérence du fascisme n’est réelle et organique qu’
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jouer pour entraîner les classes moyennes, est un
danger
plus grand pour les Églises que la tragédie soviétique. Et pour des r
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’à sa vocation. Qui n’est pas fasciste ? Le
danger
réel du fascisme n’apparaît pas à la majorité des bons bourgeois. Les
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à la dénonciation des moyens et des personnes. Le
danger
est beaucoup plus profond : il est dans la conception rationaliste de
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ation s’éclaircit. Voici venir le temps des vrais
dangers
, c’est-à-dire des vraies luttes et des vrais engagements. (paru dans
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, la communauté fondée sur la personne courait le
danger
d’une double déviation : d’une part vers l’individualisme, d’autre pa
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mme fasciste, c’est définir du même coup certains
dangers
qui menacent en permanence notre morale de la personne. Je vais le mo
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e protestantisme créateur de personnalités. Notre
danger
intime et permanent, c’est le moralisme, le culte de nos vertus utili
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ent identique à celle de l’entre-deux-guerres. Le
danger
totalitaire n’est pas moindre, les erreurs du marxisme stalinien ne s
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subsiste dans beaucoup de nos démocraties. Que ce
danger
, que ces erreurs, que ce régime aient survécu à la Seconde Guerre mon