1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 sse : c’est qu’on pressent qu’elle n’est pas sans danger . Elle nous met en effet au cœur de tout le problème — et sa portée dé
2 inguer le sens secret et inquiétant du mythe : le danger qu’il exprime et voile, cette passion qui ressemble au vertige… Mais
3 e pourrait-on dire, qu’il oublie la douleur et le danger dans l’ivresse de son « déduit ». Pourtant, le sang de sa blessure le
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
4 Le Catharisme, 1938), insiste lui aussi sur « le danger d’une envolée trop rapide vers le ciel », selon les cathares, et oppo
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
5 e Thérèse étaient mieux avertis que quiconque des dangers de la « luxure spirituelle ». (C’est l’expression de saint Jean de la
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
6 inaccessible dans son jardin givré d’allégories. Danger , Male-Bouche et Honte défendent Bel Accueil contre les entreprises de
7 ble la vraie nature de l’amour qu’il chante et le danger de s’arrêter aux formes terrestres qui n’en sont qu’un reflet : De mê
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
8 ne bataille, dit Machiavel, n’offrait alors aucun danger  : « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
9 onner lieu qu’à des commentaires édifiants sur le danger de pécher et le remords, devient soudain vertu mystique (dans le symb
10 ial, quel qu’il soit. (Et je ne parle même pas du danger spirituel que fait courir à la personne l’éthique de l’évasion, qui e
11 morale en soi, que sous l’aspect du risque et du danger qu’elle fait courir à celui qui la commet. Tandis que du point de vue