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ure en Europe, les misères dont elle souffre, les
dangers
qui la guettent. C’est pourquoi les deux thèmes qui serviront de poin
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’est que dans tous les pays libres de l’Ouest, ce
danger
est avoué, dénoncé. Il est devenu, d’ailleurs, d’autant plus apparent
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elles accréditent : « indépendance nationale », «
danger
allemand », « offensive de paix russe », « impérialisme américain ».
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e prise de conscience assez rapide et générale du
danger
que courent ensemble tous nos pays, mais aussi des ressources immense
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fs même… Nous sommes sur la bonne voie. Mais deux
dangers
subsistent : les centres de coordination se sont multipliés au point
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, etc.). La raison de cette paralysie en dépit du
danger
immédiat et commun, c’est que l’esprit européen n’est pas encore asse
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et la société. Or, on nous a très bien montré les
dangers
de l’isolement, et l’on a fort bien dénoncé les excès de la révolte ;
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que cela peut fort bien continuer ainsi, sans nul
danger
sérieux de catastrophe. Après tout, la tour de Babel ne s’est pas écr
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Le sophisme des « deux cultures » Cependant un
danger
subsiste. L’ère de l’automation et de l’électronique exige la formati
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chniciens, aux dépens de la culture générale. Le
danger
qui apparaît alors, c’est celui de stériliser les sources vives de l’
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eurs équilibres habitués, sans leur expliquer les
dangers
et les bienfaits virtuels, conditionnels, de notre apport. Nous leur
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ise en accusation parce qu’elle aurait produit le
danger
atomique ou voudrait nous réduire à l’état de robots, la technique ne
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etc. de manière à éviter, entre autres, le double
danger
d’une insistance exclusive sur les sciences physiques et la technique
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rs. » ⁂ La prise de conscience des besoins et des
dangers
spécifiques de chaque culture, par rapport au « challenge » que repré