1 1946, Articles divers (1941-1946). Penser avec les mains (janvier 1946)
1 la pensée redevienne ce qu’elle est en réalité : dangereuse pour le penseur, et transformatrice du réel. « Là où je crée, là je s
2 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
2 Et vous me direz : que fait Dieu dans tout cela ? Dangereuse question : imaginez qu’il vous réponde ? S’il permet que nous fassion
3 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : Post-scriptum (27 avril 1946)
3 dire que j’allais l’oublier !) La Bombe n’est pas dangereuse du tout. — Êtes-vous fou ? De quoi donc parliez-vous dans vos cinq di
4 — Alors, pourquoi dites-vous : la Bombe n’est pas dangereuse  ? — Pour une raison très simple. La Bombe est un objet. Les objets ne
5 La Bombe est un objet. Les objets ne sont jamais dangereux . Ce qui est dangereux, horriblement, c’est l’homme. C’est lui qui a f
6 . Les objets ne sont jamais dangereux. Ce qui est dangereux , horriblement, c’est l’homme. C’est lui qui a fait la Bombe, et c’est
4 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
7 e comble de l’ennui, si ce n’est pas une « utopie dangereuse  »… À propos de cette dernière expression, avez-vous remarqué qu’on l’
8 r des projets de paix ? Pour qui sont-ils donc si dangereux  ? Avez-vous également remarqué que les militaires qui prennent la plu
9 es éléments de désordre ; et que l’utopie la plus dangereuse était la théorie de la souveraineté sans limites des nations. C’était
5 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
10 sur les hauteurs et découvre que Dieu y est plus dangereux encore, d’une autre sorte, fulgurante. Péripétie La scène du mo