1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
1 u la vocation d’un groupe et la considèrent comme dangereuse et scandaleuse. Ces doctrines sont par là incompatibles avec l’ordre
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
2 antiques est en train de se révéler beaucoup plus dangereuse pour la romance que les diatribes des moralistes. La dépréciation gén
3 nt approuvée. Nous pourrions limiter ses qualités dangereuses beaucoup plus efficacement en montrant simplement aux jeunes que, que
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
4 e, si l’on veut établir un parallèle — sans doute dangereux — ce serait la Personne vivante de Jésus-Christ, et non pas la théolo
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
5 vilisation. Rien ne serait donc plus faux ni plus dangereux pour nous que de maintenir des cloisons étanches entre la culture en
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
6 résident, d’un général. Ce n’est pas elle qui est dangereuse , c’est l’homme. Et les cerveaux électroniques (par métaphore) ne font
7 er à sa place des travaux monotones, épuisants ou dangereux . On ne connaît rien au monde de plus inoffensif. En revanche, l’inven
8 ment de ses efforts sur la matière trop lourde ou dangereuse à manier, mais aussi de la monotonie et du rythme inhumain de travail