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bras vers les jardins. Des ballerines de l’opéra
dansent
autour d’une vasque, dans un théâtre de grands buis taillés à l’itali
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chapeau claque pour aller à quelque « bal blanc »
danser
devant une rangée de faces-à-main avec les plus beaux noms de France
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re, et rien ne s’est refait depuis. Quand on veut
danser
on fait venir l’orchestre-jazz du chef-lieu : il arrive dans un sompt
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ble à la caverne de Platon : des ombres d’êtres y
dansent
sur les voûtes, et chacun s’y sent seul, tournant le dos au soleil to
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ne saurait exprimer. À ma droite, les girafes ont
dansé
, à ce bruit, un ballet déhanché, angoissant, tout autour de leur cage
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te nuit, je n’aurais aucun reproche pour ceux qui
dansent
. Et ce n’est point que j’aie pris mon parti de l’insanité de la vie,
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les groupes qui jonchent les tapis. Quelques-uns
dansent
. « Florence est folle cette nuit, elle mord les hommes », me dit l’hô
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ts d’une touche aussi allègre ? Comment les faire
danser
de cette joie de dire vrai ? Et comment les séduire au rythme sans dé