1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
1 verte, l’orchestre russe emmêle des arabesques de danseurs et déjà quelques-uns de ces hôtes diaphanes du petit jour. J’en ai vu
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 de l’autre talon en changeant de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules du cavalier)
3 er le sol des talons, alternativement ; saisir la danseuse , tourbillonner, pousser de grands cris ; tourbillonner en sens invers
4 , mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse  ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un roulement contin
5 s où l’ivresse les lâche, affalés, tandis que les danseuses secouent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’on les re
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
6 . Nul pittoresque. Rien à « remarquer » parmi les danseurs du quartier, alors que dans la société, l’on se montre au moins des t
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
7 gerbe dans les bras, puis s’est enfuie. C’est une danseuse , me dit le chef steward, la plus célèbre du Brésil, qui s’en va couri