2
c la défendre d’abord et telle qu’elle est. Sinon
demain
, elle ne sera pas meilleure, mais morte. En même temps qu’on s’attaqu
3
r que nous respirons. Si nous sentions que l’air,
demain
, que presque toutes nos libertés peuvent nous manquer, nous sentirion
4
e, misérable et pourrie d’injustices, se trouvait
demain
rajeunie à grands coups de règlements dictatoriaux. On nous dit que n
5
xistant de l’autre côté. Nous pourrions le perdre
demain
, et il faudrait vraiment une mystique bien puissante et mystifiante p
6
’en plaindre ou de s’en moquer ? Si nous perdions
demain
ces droits, qui peuvent paraître secondaires, nous verrions qu’ils ét
7
e fédérer dans leurs différences essentielles. Si
demain
notre fédération s’établit à Strasbourg ou ailleurs, nous dotant d’in