1
e salvatrice, M. de Montherlant ne s’est même pas
demandé
si ces deux contrepoisons pouvaient être administrés ensemble. L’opér
2
se entre les dix qui sont à lui. Il dit : « Je ne
demande
pas qu’on m’aime. Je demande qu’on me soit dévoué. » Ils disent : « T
3
ui. Il dit : « Je ne demande pas qu’on m’aime. Je
demande
qu’on me soit dévoué. » Ils disent : « Tu es notre capitaine. » Ces c
4
âmes comme enjeu nos consommations. Je gagnai. Il
demanda
des portos. Je les gagnai et je les bus. D’autres encore. Ma tête com
5
fois de plus manquait le rendez-vous que j’avais
demandé
au hasard d’arranger. Mais le thème de la Barcarolle s’empare de tout
6
mprends mal. Je me penche vers un voisin pour lui
demander
je ne sais plus quoi. Mais sans doute évadé dans son rêve, beaucoup p
7
si. La fidélité véritable est une œuvre d’art qui
demande
un long effort, et les Viennois sont, par nature et par attitude, des
8
omme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil ?
demanda-t
-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très, très longt
9
semaines, il avait dû le mettre au caviar. Il en
demanda
donc une petite portion et la fit prendre au homard avec toutes sorte
10
e sa curiosité. Sans doute est-il trop impatient,
demande-t
-il aux êtres plus qu’ils ne peuvent donner… D’ailleurs on ne lui doit
11
lais à nos trois amis (qui pourtant n’eussent pas
demandé
mieux que de reconnaître, etc.) Actuellement, Nietzsche est encore tr
12
opposer un effort digne de ce qu’ils furent… Cela
demanderait
certains sacrifices, certains mépris qui passent tellement la « mesur
13
ules César s’imposait de longues marches. Mais ne
demandons
pas à Barrès de quitter sa chambre, son cigare ou son moi. » 8. « La
14
s qui n’est ni chrétien ni disciple de Nietzsche,
demandera
pourquoi il faut faire la révolution morale. Voilà notre aphorisme dé