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être dont il ignorait presque l’existence, et qui
demande
un peu de temps pour formuler sa réaction, voilà sans doute l’explica
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actualité, il suffit, pour s’en convaincre, de se
demander
un instant ce qui arriverait dans le cas contraire. Si notre monde ti
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u pour dire autre chose que ce qu’elle dit. On se
demande
pourquoi, dans de telles conditions, l’on s’obstinerait encore à écri
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lieu… »). On a dit : le chapitre est bâclé. Je me
demande
si l’époque méritait mieux. Époque bâclée, elle aussi, littérature bâ
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c’est de s’imposer avec force au Public. Et cela
demande
de la tactique ! Je le vois bien. Je supplie donc qu’on m’explique la
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« réinstallation complète » dont nous parlions ne
demandera
pas seulement des mois, ni même des années ou des siècles, mais quelq
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liquait à sa voisine qui paraissait malade : « Tu
demanderas
bien un espécialiste, rappelle-toi ! Si tu oublies, tu n’auras qu’à t
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Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je
demande
au pasteur ce que c’est que ces communistes. — Voilà. Que vous dire d
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seuls, qui proposent des réformes pratiques, qui
demandent
qu’on installe l’eau et l’électricité dans les maisons, etc. C’est l’
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nt tout de même quelque chose, mais bou Diou ! ça
demande
du raisonnement. Par exemple, il a écrit au ministre — au ministre du
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’erreurs de faits et de formules électorales ! Je
demandai
la parole pour expliquer, le plus simplement que je pus, que le probl
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rguments qu’il m’oppose… — Tout ce que le lecteur
demande
, c’est qu’on lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je raconte
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éaction insolente : « Place aux Vieux ! » — On se
demande
s’il est au monde un seul pays, hormis la France, où cette phrase soi
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nt mieux, fait l’homme. Et si des fois on vous en
demande
de trop, vous n’avez qu’à donner la mienne, vous savez. Plus on la li
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foi dans le pouvoir d’une pensée droite, — on se
demande
par quelle rancune vaguement démoniaque, et surtout vaine, ils en vie
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i me parut splendide… Qu’est-ce qu’une ombre ? me
demandais
-je. Quelque chose d’assez méprisable. Les Latins la ridiculisent. C’e
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, des tas de choses à écrire… Elle n’ose pas m’en
demander
davantage. Et moi, je recule devant l’entreprise de lui expliquer la
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s biens et d’intérêts humains très chers. Mais je
demande
à ces chrétiens « changés » s’ils ont un souci suffisant des suites s
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hange chez Marx.) 56. « Les pharisiens lui ayant
demandé
quand viendrait le Royaume de Dieu, Jésus leur répondit : Le Royaume
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il est possible le mystère dernier d’Israël. « Je
demande
maintenant : Dieu a-t-il rejeté son peuple ? Non certes, car je suis
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nt pressent et vit au seul moment de la prière. «
Demandez
et l’on vous donnera », dit le même Dieu qui nous prédestina ! Quand
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pure et simple absurdité. Mais alors, on peut se
demander
si ceux qui refusent le christianisme échappent vraiment à la difficu
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ausire (15 janvier 1938)t M. Pierre Beausire80
demande
aux personnalistes « de ne point perdre leur temps et leurs forces à
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rces à discuter avec leurs adversaires ». Il leur
demande
ensuite de prendre le pouvoir. Mais avant de prendre le pouvoir, il f
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. ⁂ « Au nom de quel principe s’insurgent-ils ? »
demande
M. Beausire. C’est au nom du personnalisme. Mais qu’est-ce que le per