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ce qui se passe en France. Et l’on en vient à se
demander
si ce n’est pas surtout le souci de faire la leçon aux Français « de
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Nous ne saurions « guérir » personne. On ne nous
demande
qu’un diagnostic exact de l’humain, c’est-à-dire, je le répète : une
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iciens ou en opportunistes, comme certains qui se
demandent
encore, par exemple, s’il est de gauche ou de droite, alors qu’il est
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laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs. Elle ne
demande
pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle demande : quels sont t
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de pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais elle
demande
: quels sont tes morts ? Religion du sang, religion de la terre et de
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iculièrement dans le canton de Neuchâtel, qui m’a
demandé
d’écrire ce drame. Il existe en effet chez nous des chœurs mixtes de
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s sur Hitler. Vous pouvez réfléchir là-dessus… On
demande
souvent s’il est intelligent. Il me semble que cela n’a pas grande im
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aution lui paraît-elle insuffisante, puisqu’il me
demande
de revoir son interview avant la publication. Saurait-on lui en voulo
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nt même pas. L’un d’eux entre ses dents : « On se
demande
ce qu’on fout par-là… » Eh bien oui, bande de rouspéteurs, vous avez
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de rouspéteurs, vous avez bien raison de vous le
demander
! Et je me le demande encore, devant ce papier blanc : pourquoi somme
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vez bien raison de vous le demander ! Et je me le
demande
encore, devant ce papier blanc : pourquoi sommes-nous là, — quelque p
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e scène dont j’avais vu les plans. On insista, je
demandai
trois jours « pour réfléchir », et n’en fis rien. J’étais certain qu’
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s voix européennes que rien n’arrête : elles nous
demandent
à nous les Suisses, si nous avons encore une raison d’être, si nous o
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ienne qu’à nous seuls, à nous Suisses. Elles nous
demandent
quelle est la Suisse que nous sommes décidés à défendre. Voilà le déf
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« autrefois » voulue par Dieu, il nous faut nous
demander
, maintenant, si vraiment Dieu la veut encore. Nous avons fait serment
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t une suite, une partie “positive”. C’est à cette
demande
que veut bien répondre notre collaborateur. »
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, les bolchévistes sont pour le désordre. Sans se
demander
un seul instant de quelle espèce d’ordre il s’agissait. Or, prenons-y
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s… Que reste-t-il donc à répondre à ceux qui nous
demanderaient
d’entrer en guerre ? Ni l’argument des réalistes, ni celui des jurist
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par quels moyens il pourrait y contribuer, je lui
demanderai
d’aider au moins ceux qui se trouveraient mieux placés dans ce combat
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d l’avenir immédiat ne l’est plus. Toute création
demande
une vacance, un espace qui ne soit mesuré et un temps qui ne soit ryt
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profond, peut-être si normal, que j’en viens à me
demander
si toutes nos crises ne seraient pas machinées par nous-mêmes, dans n
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ent et l’augmentation du confort. Il refuse de se
demander
à quoi servira cet argent ou si le confort matériel favorise un bien
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On trouvera de l’argent pour 40 chars, mais si je
demande
qu’on double un budget culturel, on me répondra que je veux ruiner le
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et de nous défendre en ripostant, pourquoi donc,
demanderai
-je, fortifier nos frontières ? L’intégrité du territoire serait-elle
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x qui sont froids ou bouillants seront mangés. Je
demande
à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de neutralité en g
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ervir d’excuse à l’absence de vues politiques. On
demande
à un gouvernement de « gouverner14 », de piloter l’État et d’orienter
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om l’indique — et des conseillers commerciaux. On
demande
des diplomates qui fassent une politique, et qui aient plus d’idées g
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libraire ou à la bibliothèque la plus proche, et
demandez
la traduction de ce gros livre. Vous commettrez une bonne action patr