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s premières : la liberté et la paix. Si l’on nous
demande
quel est le principe simple qui a pu rassembler des hommes aussi dive
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grands mots du genre de paix et de liberté et qui
demandent
à voir ce qu’on met derrière ces syllabes prestigieuses. J’espère, pa
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uer, par contraste, combien je dois avoir raison.
Demandons
-nous comment on fait pour fabriquer soit un Yankee, soit un citoyen d
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paysan, sait très bien ce qu’il a perdu. Il n’en
demande
pas la définition. Il en exige la jouissance immédiate, à n’importe q
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érer dans leurs différences essentielles. Si vous
demandez
: quelles sont nos chances ? Je dirai qu’elles dépendent de chacun de
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des revendications mais des coups de feu, et qui
demandent
bien moins de conviction politique que d’audace ou de discipline, de
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xigence extrême éveillée par un tel exemple, nous
demandons
: pourquoi ces épreuves inhumaines ? Quels motifs deviner chez ceux q
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dénudent l’homme dans sa plus sobre vérité, nous
demandons
alors : qui va revêtir cet homme d’une vocation plus vraie que les ca
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rasite des maux publics. Lawrence n’a jamais rien
demandé
que de lui-même. Son pouvoir sur autrui lui fait horreur, il l’avoue
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end au moins à n’en pas attendre des hommes. Nous
demandons
trop aux écrivains. En sommes, nous attendons qu’ils remplacent la re
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e sera que provisoire, et ensuite, vous êtes-vous
demandé
quelles sont les proportions de cette séparation ? De ce côté-ci du f
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s-nous à cet avantage, et contre quoi, je vous le
demande
? Encore une fois, non. Il ne s’agit pas de renoncer à cette neutrali
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vais partout disant que l’Europe est faite. On me
demande
: laquelle ? — Eh bien, l’Europe des Six, l’Europe de Luxembourg, la
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font confiance à la lucidité. « Est-ce rêver, se
demandait
-il, que de conseiller à l’Europe… de se reconnaître une mission ? » N
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suis Européen (20 juin 1953)q Je voudrais vous
demander
quelles ont été les raisons toutes personnelles qui ont fait de vous
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je ne connaissais pas, et qui, sans préambule, me
demanda
d’ouvrir par un discours le premier congrès fédéraliste qui allait se
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iques sans Dieu, des saints sans Dieu. Malraux se
demande
si la mort de Dieu n’entraîne pas celle de l’homme, — pensée difficil
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rne, la culture et la société. Mais a-t-on jamais
demandé
à ceux qui disent que Dieu est mort, ce qu’ils entendent exactement p
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’homme occidental, beaucoup plus que la paix, qui
demande
un sens à sa vie, une direction à son espoir… Et cependant, si les re
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’est dire que le lecteur moyen a bien le droit de
demander
à son tour, sans rougir de son ignorance : après tout, de quoi s’agit
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nos libertés, et la jeunesse. Certes, on peut se
demander
s’il est bien sûr que la CED telle qu’elle est, si prudente et respec
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er, et les diversités locales ou spirituelles qui
demanderaient
seulement des lois plus souples. L’uniformisation est sa réponse à to
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ase dit tout. La nation est un dieu lointain, qui
demande
beaucoup plus qu’il ne donne, infiniment plus, à l’absurde. Principe
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’adversaires réels de l’union. Mais là encore, je
demande
que les fédéralistes refusent de se battre pour des mots trompeurs. C
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nationales un peu améliorées et assouplies. Nous
demandons
au contraire des services fédéraux organisant toutes les activités de
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e, débordent la capacité d’un seul pays ; et nous
demandons
la libération correspondante ou complémentaire des entreprises dont l
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des buts très divers. Quoi de commun, pourrait-on
demander
, entre nos présidents d’honneur ? Entre Maritain et Russell, entre Ni
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des chansons la mauvaise conscience, et qui leur
demandaient
non pas tant une illusion d’amour sincère qu’un antipode spirituel au
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s, à l’élite intellectuelle du monde entier, nous
demandons
aide et secours. Il reste peu de temps. Vous connaissez les faits. In