1
hiti-Batelli dans votre numéro de décembre. Je me
demandais
au début à quels « Européens » l’auteur s’en prenait, qui d’une part
2
sité vitale, et non pas une concession qu’on leur
demande
, ou une diminution de leur valeur propre. Elles comprendraient aussi
3
n’a pas à « tolérer » le cœur. Tout ce qu’on lui
demande
, c’est d’être un vrai poumon, d’être aussi poumon que possible, et, d
4
je la tiens pour moins difficile que celles qu’on
demande
, par exemple, aux constructeurs d’une fusée balistique ou d’un vaisse
5
nfin faire entendre la Voix de l’Europe (comme le
demandait
Churchill dès 1948 au Congrès de l’Europe à La Haye6). Le fait que le
6
e ; il leur arrive d’accuser de sabotage ceux qui
demandent
: « Quelle Europe voulez-vous ? Qu’on nous la montre ! » Ces discussi
7
n’est perdu pour qui veut comprendre ? Nous avons
demandé
à Denis de Rougemont de répondre à ces questions qui sont dans le cœu
8
et centralisateurs. Un Français cultivé et qui se
demande
quel est le « vrai » sens du mot fédéralisme, recourt à son Littré, o
9
seulement quelques têtes de chapitre. On peut se
demander
d’abord si cette solution apparemment de statu quo, répond d’une mani
10
s », plutôt mal vues à cause de l’adjectif. Notre
demande
d’association au Marché commun prit pour certains une allure de Canos
11
cœur, je trouvais à l’armée ce que d’autres vont
demander
à une retraite conventuelle. Cette circonstance peut expliquer pourqu
12
équipés. Un camarade m’a réveillé : — Le colonel
demande
des volontaires pour une patrouille. Il faut aller reconnaître le sen
13
voire mondiales. Dans cette évolution, on peut se
demander
si l’élargissement de la guerre a vraiment résulté du progrès de la t
14
t peut-être à couvrir au maximum un sixième de la
demande
actuelle du tiers-monde, et cette demande aura au moins doublé d’ici
15
e de la demande actuelle du tiers-monde, et cette
demande
aura au moins doublé d’ici vingt ans. À supposer même que notre scien
16
Bon Dieu. Et de lui seul ! Tout ce que l’on peut
demander
d’un homme, c’est qu’il fasse le moins de mal possible. » (Ce que je
17
r ils sont… indéfendables ! » Une jeune fille lui
demande
de définir le bonheur. — « Happiness is just what happens. » Notre hô
18
que l’Inde est l’Espagne de l’Asie. C’était à se
demander
si l’on pouvait encore distinguer un Maharati ou un Gujerati d’un Ibé
19
ropéen ? Cercle vicieux pour ceux-là seuls qui ne
demandent
qu’à croire qu’ils y sont enfermés. Au-delà des impasses logiques, le
20
) une « union plus étroite » (que quoi ? on se le
demande
) entre États-nations souverains, feront l’objet de « relances » pério
21
routines, en répétitions du passé. La jeunesse se
demande
pourquoi l’Europe n’est pas encore unie, depuis vingt ans que nos gou
22
organisateurs du congrès, étaient venus à Ferney
demander
mon concours, j’avais posé clairement mes conditions : je ne prendrai
23
it de lire le Message . Paul van Zeeland, sur ma
demande
, vint arbitrer le différend : on décida que je lirais le Message , m
24
is qu’on fasse aussi une petite place — comme l’a
demandé
M. Lalive tout à l’heure — aux chercheurs non purement scientifiques.
25
Autrement dit, du point de vue fédéraliste, on se
demandera
à partir de quelle dimension une communauté a le droit de se plaindre
26
au monde, et notamment aux Américains qui nous le
demandent
. La culture, c’est un tout, c’est un ensemble dont toutes les parties
27
passé dont l’unification prendrait trop de temps,
demanderait
trop d’énergie, et soulèverait trop d’oppositions.30 Bien avant d’a
28
ats de l’opposition et un parti au moins, le PSU,
demandent
déjà des assemblées régionales élues, la promotion d’une citoyenneté
29
ne société, avec ses cadres et ses mécanismes. Je
demande
seulement qu’il corresponde aux réalités humaines et qu’il les serve,
30
au lieu de prétendre à les régir en souverain. Je
demande
la division du phénomène État en autant de foyers, et sa répartition
31
nité et d’ordres de grandeur dans nos projets. Je
demande
la dissociation et la répartition fédéraliste des pouvoirs aujourd’hu
32
« Mais qui est donc M Denis de Rougemont ? », se
demandait
-on au lendemain de l’attribution du Grand Prix littéraire de Monaco.
33
er le système fédéral canadien, mais avant de lui
demander
ses impressions sur le fédéralisme canadien, il nous paraissait néces
34
me canadien, il nous paraissait nécessaire de lui
demander
comment il était passé de sa définition de la « personne » au fédéral
35
ion de ce livre en Amérique, pour laquelle on m’a
demandé
une postface que j’ai presque terminée, et dans laquelle je décris le
36
ête à pires malentendus ! Un Français cultivé qui
demande
à son Littré le sens du mot fédéralisme trouve ceci : « Fédéralisme :
37
eux maxima contradictoires, — comme l’offre et la
demande
dans un prix). L’ensemble des problèmes et des solutions ainsi défini
38
ilité d’intervenir souvent. Je n’irai pas jusqu’à
demander
, comme Aristote, que les communes ne soient pas plus vastes que la po
39
plus grand naturel, semble-t-il. Mais on peut se
demander
dans quel dessein il consacre à peu près un tiers de son écrit à la c
40
exil, d’obscurité et de famine. Un jour, on lui a
demandé
de parler à Plymouth : il ne peut arriver au bout de son discours, il
41
passé dont l’unification prendrait trop de temps,
demanderait
trop d’énergie et soulèverait trop d’oppositions. Bien avant d’avoir