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oubler désormais tous les sept ans, et si on leur
demande
comment ils le savent, ils répondent qu’il s’agit d’un fait scientifi
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t le seul moyen de les faire mentir. Car elles ne
demandent
qu’à être démenties, on peut même dire qu’elles ne sont là que pour ç
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abrique. Il vend très peu : « Il n’y avait pas de
demande
pour les automobiles », écrit-il simplement dans ses mémoires. Il par
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eraineté nationale absolue était un mythe. Moi je
demande
simplement que nous fassions une Europe sur la base des réalités, et
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eulement des histoires militaires… Aussi, je vous
demande
de bien vouloir vous prononcer sur la liberté des gouvernants, je pen
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gs, on peut interdire les rues aux voitures, cela
demande
une renaissance de l’esprit communal, de l’esprit d’association et de
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rlé de ce livre, que j’ai écrit à New York. Il se
demandait
comment un homme qui croit en Dieu pouvait avoir des relations avec l
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ressé de la pensée”. À cette occasion, nous avons
demandé
à Denis de Rougemont de parler de son séjour à New York pendant la de
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La première table ronde, tenue à Rome, s’était
demandé
: d’où vient l’Europe, et sur quelles bases d’unité culturelle édifie
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La deuxième table ronde, que nous inaugurons, se
demande
plutôt : où va l’Europe ? et plus exactement : où voulons-nous qu’ell
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est normal que le jeune Européen d’aujourd’hui se
demande
à quoi tout cela rime, et descende le crier dans la rue : il serait a
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iaboliquement variées de l’aliénation, j’ose vous
demander
ce qui, selon vous, est aliéné ? Si ce n’est pas la personne, alors q
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provoquer des changements de personnalité « à la
demande
», c’est-à-dire selon les normes du pouvoir régnant. Aliénation majeu
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les capacités de chacun de nos États européens et
demandaient
la mise en commun de leurs ressources. Cet exemple mérite de demeurer
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ussie je serais enfermé depuis longtemps et je me
demande
si je ne deviendrais pas fou réellement. Quand on vous dit que vous ê
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à penser de la sorte, vous pouvez réellement vous
demander
: Mais en fin de compte est-ce que je n’ai pas tort puisque tous les
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nous expliquent qu’il y a une nécessité, je leur
demande
laquelle. Rien ne nous oblige concrètement à avoir plus d’électricité
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, les groupes romands d’Amnesty International ont
demandé
aux pairs de l’écrivain emprisonné — professeurs de lettres, membres
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uelles on n’a pas besoin d’autorisations. Si vous
demandez
à d’autres le droit d’être libre, vous êtes perdu ! La liberté, c’est
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grands journaux romands. Depuis 1962, date de la
demande
d’association de la Suisse au Marché commun, s’interroger sur l’aveni
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examens de conscience. « Quels problèmes ? », me
demande
l’Européen qui venait admirer notre libre Helvétie et qui est un peu
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raire, car à cette époque-là, il n’y avait pas de
demande
pour les automobiles… et même une répugnance du public… » Phrase inou
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tte automobile, pour laquelle il n’y avait pas de
demande
, et même une certaine répugnance au début de ce siècle, est devenue l
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uestion : « Que va-t-il arriver ? » au lieu de se
demander
: « Que puis-je faire ? » l. « Au-delà de la société industrielle
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déclarée de la population. Mais en même temps on
demande
des subsides fédéraux pour les tomates, la vigne, l’horlogerie, l’ind
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e épouser ses droits contre un père irrité ? » se
demande
le jeune homme. (La psychanalyse nous a habitués à des déguisements p
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elui qui pose des questions simples et naïves, je
demande
: « Concorde, à quoi est-ce que ça sert ? » On m’assure que cet appar
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rgument proprement scandaleux ! Faut-il, comme le
demandait
un Premier ministre, supprimer toute limitation de vitesse sur les au
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folklorique, que déjà tant de nos régions aillent
demander
l’expression publique et sensible de cet être communautaire et de cet
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t européens, ou non, ils reviennent et parfois en
demandent
davantage, hors programme, isolés ou en groupes. Vous avez rappelé ré
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décadence d’une société commence quand l’homme se
demande
: “Que va-t-il arriver ?” au lieu de se demander : “Que puis-je faire
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e demande : “Que va-t-il arriver ?” au lieu de se
demander
: “Que puis-je faire ?”. À ces deux questions, curieusement, il n’est
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décadence d’une société commence quand l’homme se
demande
: “Qu’est-ce qui va arriver ?” au lieu de se demander : “Que puis-je
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ande : “Qu’est-ce qui va arriver ?” au lieu de se
demander
: “Que puis-je faire ?” » Permettez-moi d’ouvrir une parenthèse : je
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st-ce qu’on va faire ? Eh bien, personne ne se le
demande
aujourd’hui, la recherche sur un véhicule sans pétrole est dans les l
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dit : « Je ne suis pas là. » Et quand Dieu lui a
demandé
: « Qu’est-ce que tu as fait ? », il a dit : « Ce n’est pas moi, c’es
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: « Ce n’est pas moi, c’est Ève » ; alors Dieu a
demandé
à Ève : « Qu’est-ce que tu as fait ? » Et Ève a dit : « Ce n’est pas
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nique, un nouveau procédé, on devrait toujours se
demander
: « Qu’est-ce qui arriverait si ça réussissait ? » Et plus prosaïquem
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s les plus inénarrables palinodies… Lorsqu’on lui
demande
s’il est « à la mode », Denis de Rougemont sourit ironiquement et se
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ccident à la date à laquelle mon éditeur m’avait
demandé
de le remettre. J’ai donc très volontiers cédé la place à un jeune au
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: « La décadence d’un peuple commence quand on se
demande
qu’est-ce qui va arriver au lieu de se demander : Qu’est-ce que je va
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se demande qu’est-ce qui va arriver au lieu de se
demander
: Qu’est-ce que je vais faire ? » Je ne crois pas que l’homme soit bo
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u’on veut, et trop souvent pour ce que l’État lui
demande
. Longtemps elle a fait des citoyens pour la nation seulement. Nous av
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rsonne, mais à Dieu » ? Je préfère que l’homme se
demande
maintenant « Que puis-je faire ? », plutôt que « Qu’est-ce qui va arr
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e, un de ces agencements de l’Histoire dont on se
demande
qui a pu les imaginer. Ford part d’une extrémité, Hitler de l’autre.
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rideau, devant une salle de dix mille places. Je
demandais
quelques jours « pour réfléchir » et n’en fis rien, certain qu’avant
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ugué : « Étoile du matin ». Plus tard, je lui ai
demandé
le secret de cette divination spirituelle, et il m’a dit modestement
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r) mais pour la production de l’union entière. On
demande
« la mise en commun des ressources d’énergie des marées et de l’énerg
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ntent : celle des unionistes (à la Churchill) qui
demandent
des mesures « d’union plus étroite » ne limitant en rien les souverai
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Je ne sais si c’est un très bon choix de m’avoir
demandé
d’ouvrir les débats, parce que je suis d’accord avec presque tout ce
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me cet homme politique français qui, quand on lui
demandait
, un jour : « Que faites-vous devant un problème insoluble ? », répond
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sur soi-même. » [Réagissant aux remerciements et
demande
de précisions de Jeanne Hersch :] Il n’y a pas vraiment d’opposition