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politique à ce siècle débile et fiévreux ? On se
demande
alors de quoi je me mêle. Je réponds que je voudrais bien n’avoir jam
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e ce qui pourrait désespérer l’espèce d’homme qui
demande
à la lecture une évasion, un stupéfiant, une justification du monde i
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éenne5. « Qu’est-ce que l’antieuropéanisme ? » se
demande
l’auteur, lorsqu’il tente à la fin de son essai d’en récapituler les
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. « Défaire la France » ? En ce point, l’on se
demande
pourquoi la France seule deviendrait la victime d’une Europe fédérée,
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ques, certains leaders extrémistes allant jusqu’à
demander
le rattachement direct de leur région à l’Europe unie, sans passer pa
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s commissions, la politique et l’économique. J’ai
demandé
qu’on me donne une preuve que l’on prend la culture au sérieux, qu’el
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s de position successives de J.-P. Sartre. Sur ma
demande
, il avait envoyé à la conférence de Lausanne des fragments d’un long
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l’Europe, dans les années 1950 et 196039. Ce que
demandent
aujourd’hui les fédéralistes européens, c’est la coopération active,
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ssi que l’Oraison dominicale dit, dans sa seconde
demande
: « Que Ton règne vienne ! », donc arrive, donc ait lieu dans notre h
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de à nos jours, au cours des 28 derniers siècles.
Demandons
-nous d’abord quel est le plus grand commun dénominateur entre l’Europ
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: J’étais dans la peine et la misère, et je t’ai
demandé
, ô nation, la protection de tes lois et des secours, et toi tu m’as j
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pondre un dernier appel dramatique « Nous t’avons
demandé
des armes et tu nous as donné un article de gazette. » Mea culpa… Mai
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ons étroitement nationales. « Vous avez raison de
demander
un accroissement de vos compétences », a-t-elle dit aux députés, en a
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l’intermédiaire de l’Église orthodoxe. Je me suis
demandé
s’il n’y aurait pas là un premier sujet —je vous en trouverai d’autre
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s. La première session de l’Assemblée européenne
demandée
par le congrès de La Haye, s’ouvrit le 10 août 1949 à Strasbourg. Fau
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l’air de le penser dans ma candeur naïve, je vous
demanderai
si quelque chose au monde est plus difficile à concevoir que le maint
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ertes rien moins qu’assurés de réussir. Mais nous
demandons
à nos amis de nous croire : le succès n’est pas exclu. Comment ne pa
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rard Jacquet, délégué socialiste français, qui me
demande
de le récrire à mon idée. Le mercredi soir, Georges Rebattet (le Colo
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m’avait averti de son projet dès fin août. Il me
demande
aujourd’hui de rédiger le texte du message que le porte-parole des je
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révolutionnaire qui seul peut nous sauver. Nous
demandons
que les délégués conscients des dangers immédiats se proclament les r
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nt » pour rien, pour l’idée… Je me trompe ? Je ne
demande
qu’à me tromper. 4. L’initiative politique échappe au Conseil de l
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mai 1980, sur la base d’un texte que l’on m’avait
demandé
de préparer. Un an plus tard — les documents originaux ayant passé à
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le Comité des ministres du Conseil de l’Europe à
demander
au CDCC : 1. de mettre en place, dès que possible, un groupe de trava
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« L’annexe à la Recommandation 999 de l’Assemblée
demande
expressément à la Commission d’examiner dans quelle mesure les instit
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u Centre européen de la culture (pour lequel j’ai
demandé
le patronage du Conseil), puis Senghor, puis Mme Rehling (RFA) trois
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ce, lorsque j’avais 14-15 ans, j’ai commencé à me
demander
ce que j’allais faire dans la vie, comme on le fait à cet âge-là, et
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t de Saint-Maurice en Valais. Tout ce que je vous
demande
, c’est de ne pas vous afficher dans les rues de Berne avec une petite
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nt le contraire qui se passe aujourd’hui. Vous me
demandez
quels dangers existent pour l’homme ? Eh bien, tout simplement celui
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s les commissions scientifiques américaines, à la
demande
de la Maison-Blanche : il est parfaitement établi aujourd’hui qu’une
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pays de l’Est peuvent s’unir à l’Europe ? Ils ne
demandent
que ça. J’en ai des preuves quasi quotidiennes : j’ai de bons amis là
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ictature soviétique. Là j’ai de l’espoir. Vous me
demanderez
si j’ai l’espoir que cette fédération européenne se réalisera. J’en a