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toutes les guerres sont défensives. Quelqu’un me
demandait
, à la sortie : « Avez-vous jamais vu un soldat défensif ? Comment est
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« chrétienté » est sécularisée, et qu’on ne peut
demander
à ce siècle de rompre avec lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a
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15 !… » Les éditeurs s’efforcent de répondre à la
demande
du public. Il faut des livres faciles, des livres gais, etc. C’est, d
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des livres gais, etc. C’est, disent-ils, ce qu’on
demande
. — Hé ! oui, parbleu, c’est ce que « les gens » demandent. Mais saven
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e. — Hé ! oui, parbleu, c’est ce que « les gens »
demandent
. Mais savent-ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le demande
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gens » demandent. Mais savent-ils bien ce qu’ils
demandent
, et pourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais
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-ils bien ce qu’ils demandent, et pourquoi ils le
demandent
? Est-ce que le rôle des éditeurs, mais surtout et d’abord des écriva
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« les gens » de quoi ils ont besoin et ce qu’ils
demandent
réellement ? Car les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de dem
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ce qu’ils demandent réellement ? Car les gens ne
demandent
pas ce qu’ils ont l’air de demander, et ce qu’on se montre si pressé
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les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de
demander
, et ce qu’on se montre si pressé de leur donner à bon marché. Ils s’e
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’ont pas de formules pour avouer leur peine, pour
demander
les « remèdes » qu’il faudrait. On ne le leur a pas appris. On a préf
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ssaire de le dire… Pour ma part, je me refuse… Je
demande
à ce qu’on tienne pour un crétin celui qui… » Je prends ces trois déb
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s de phrases élégants et péremptoires, et l’on se
demande
alors si ce bel « abattage » n’a pas dissimulé, aux yeux des jeunes g
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ns sujets mériteraient à peine 50 pages, d’autres
demandent
trois volumes… Mais Adolphe ou l’Idiot seraient aujourd’hui des « com
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t la Commission de l’enseignement de l’Exposition
demandent
que, parmi les palais prévus pour 1937, il y en ait un destiné à la P
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nes, observons le présent tel que nous le vivons.
Demandons
-nous comment la surestimation cartésienne de l’esprit (exagérée jusqu
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t-il faire parmi nous ? Qu’est-ce que la vérité ?
demande
encore Pilate. (Il lui tend encore cette perche !) Mais l’homme ne ré
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n ce Palais de l’Esprit ? S’ils y parviennent, je
demande
la parole. Je ne me propose pas du tout de décevoir ce goût de positi
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n. On se passait un journal, une lorgnette. On se
demandait
l’heure. Des fifres jouaient, accompagnés par le roulement monotone d
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cidentales. Sinon, il sera toujours temps d’aller
demander
là-bas ce qui nous manque. II. Leçon de dictature De tout ce qu
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autocritique soviétique de ne consister « qu’à se
demander
si ceci ou cela est dans la ligne ou ne l’est pas. Ce n’est pas elle,
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heur à qui chercherait à pousser plus loin ! » Je
demande
alors si Gide pratique cette espèce-là d’autocritique, — ou s’il ente
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ouser que l’élan vital de la littérature (sans se
demander
d’où il venait, où il allait), ce bergsonien pittoresque et succulent
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a quelque équilibre — et c’est tout ce que je lui
demande
. Mais ici prenons garde à deux faits, aussi importants l’un que l’aut
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ier qui est arrivé en mon absence, deux nouvelles
demandes
de « causeries » : l’une à un congrès d’instituteurs, l’autre à un ce
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tôt c’est avouer qu’on n’a pas su les voir. Aller
demander
à la Nature la révélation d’une vie saine et délivrée de toute contra
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ui cherche en nous ce que notre délire allait lui
demander
: les prémices d’une nouvelle création, et la « révélation des enfant
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protocole. Je sens bien qu’il est inutile de leur
demander
de s’expliquer. Tout cela repose sur un vieux fonds de rites de prote
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une sympathie peut-être plus virile que l’auteur
demande
au lecteur pour tous les êtres auxquels il est mêlé. Et qu’il l’obtie
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mm et qui me paraît très convaincante, mais on se
demande
souvent pourquoi il la défend, et pourquoi il s’occupe d’un personnag
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ée de mettre en question parmi nous. Par exemple,
demande
Ramuz : Avons-nous autre chose à dire que propreté, confort et instru
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l autre n’a reçue. La Suisse existe-t-elle ? nous
demande
Ramuz. Cela revient à dire : a-t-elle une raison d’être ? J’essaierai
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e démocratique. 80. Qu’on entende bien que je ne
demande
pas de faire concourir l’éducation et l’instruction à notre préparati
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814-1815, lorsque les députés de la Confédération
demandèrent
au congrès de Vienne la reconnaissance de leur neutralité : on craign
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s que sous forme de plaisanteries paysannes86. La
demande
en mariage, avec échange de visites en haut de forme et « déclaration
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tenter de cette révolution. Je doute que ce qu’il
demande
ce soit l’honneur d’être exploité par ses propres compatriotes. » Rob
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vons à peu près tout à perdre ». Enfin M. Haedens
demande
que l’on remplace dans les manuels d’histoire littéraire Mme de Sévig
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se confier dans son désir le plus puissant, à lui
demander
la délivrance. Et l’Éros ne pouvait le conduire qu’à la mort. Mais l’
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nt victimes de l’optique des partis. 11. Ceux qui
demandent
des directives au centre sont victimes de l’optique des partis. 12. E
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j’appelle insolemment « le reste », m’amène à me
demander
pourquoi vous y tenez tant. Je crois voir la réponse dans votre concl
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parlez de notre hypocrisie… Avec tout cela, je me
demande
bien pourquoi nous adorons la France comme une femme ! Pour sa grâce
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Cette moitié de moi n’irait peut-être pas jusqu’à
demander
une guerre préventive, mais elle l’accepterait sans doute dans le cas
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eau Pearl Harbor. Quant à l’autre moitié, elle ne
demande
qu’à s’ouvrir à l’amitié de ce grand peuple des plaines, qui se met à
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les conservateurs par profession ou position. Ne
demandons
pas l’instauration d’une fédération européenne pour que se crée un tr
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aux dimensions continentales. Ce qu’il nous faut
demander
, et obtenir, nous tous, c’est que les nations européennes s’ouvrent d
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Europe au monde, du même coup. Ce qu’il nous faut
demander
et obtenir — obtenir de nous-mêmes tout d’abord — c’est que le génie