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ps approche où elles seront atteintes. On peut se
demander
jusqu’à quel point Ford est conscient des buts et de l’avenir de son
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t qui combat les techniciens imparfaits. Il ne se
demande
jamais si la technique même la plus perfectionnée mérite les sacrific
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ore que son travail aux lois d’une offre et d’une
demande
sans rapport avec ses désirs réels, et dont il subit docilement l’abs
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deux disciplines. Car la science à peine libérée,
demande
la tête de la métaphysique. Elle n’entend que ses intérêts. Elle eut
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able conduit « au seuil » : et qu’irions-nous lui
demander
de plus, s’il laisse en blanc la place de Dieu. Mais où trouver les l
6
lles prises, en effet, dispose cet idéalisme ? se
demande
M. G. Marcel. L’orgueil tout d’abord, je n’hésite pas à le déclarer.
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u en enfant : il y a lieu de s’attrister. Si vous
demandez
au philosophe de quel droit il pratique cet étrange sectionnement, il
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hrétien, qui sait un peu ce qu’est ce monstre, se
demande
, songeant à l’Europe, s’il y aura dix justes dans Sodome. 12. Aden
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ringante et bariolée. Il y a là quelque mystère ;
demandons
-en l’explication à la Préface d’un si brillant catalogue. Parce qu’i
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our nous et parce qu’ils nous parlent, nous avons
demandé
à ces artistes de venir dans notre cercle. Héritiers du plus grand af
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tes nés dans le protestantisme. Et l’on pourra se
demander
alors : qu’y a-t-il de spécifiquement protestant chez ces peintres ?
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e. Certains critiques de cette exposition se sont
demandé
non sans ironie où était le calvinisme dans tout ceci. Eussent-ils po
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s non plus ; mais je sais que c’est beaucoup leur
demander
. » Eh bien ! non, c’est au contraire décharger ces critiques d’une tâ
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s gens de cette sorte, mais est-ce à eux que l’on
demande
de définir la doctrine ?). Voici quelques traits amusants ou cruels q
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glise le dimanche, tout était bien ; inutile d’en
demander
plus. » Parlant de son pasteur préféré, la même tante Harriet a ce mo
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nent apporter ce dur message à l’âme de celle qui
demandait
d’être apaisée. Admirables dialogues, déchirants et triomphants, qui
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Michaël.) Vous comprenez tout à présent. Je vous
demande
seulement de prier pour moi, car j’ai parfois la sensation que ma mis
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ster est-il vraiment de la lignée des Apôtres, se
demande-t
-il ? Les prêtres sont-ils, dans le vrai sens du mot, les successeurs
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retourner chez lui la nuit même, et après s’être
demandé
avec quelque anxiété comment il ferait face aux dépenses du voyage, i
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La bonté est le sel de la vie. L’organisme social
demande
des sacrifices pour l’amour des vivants. » Le conflit intérieur s’in
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actuel, si ce n’est par une révolution ? Je vous
demande
de me dire clairement votre pensée à ce sujet. Eiichi se taisait. Une
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hrier du jardin, joyeux et insouciants. Eiichi se
demanda
s’il y avait des procureurs dans le monde des moineaux. Il se taisait
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la révolution nécessaire ». Certes, on ne saurait
demander
à un recueil d’essais réunis après coup de fournir une doctrine. Mais
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us vaste, la religion, que cela regarde. M. Nizan
demande
inlassablement ce que les philosophes bourgeois font et comptent fair
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omptent faire pour les hommes. Très bien. Nous le
demandons
aussi. (Nous avons même un scepticisme plus profond que le sien à l’e
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philosophie.) Mais ensuite, et à notre tour, nous
demanderons
: que fait, que compte faire M. Nizan pour les hommes ? — Il compte l
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tidienne, répète M. Nizan. Et il propose Marx. Je
demande
en quoi Marx peut nous aider à vivre, à mourir. Je demande à M. Nizan
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n quoi Marx peut nous aider à vivre, à mourir. Je
demande
à M. Nizan, qui est marxiste, si la lecture et la pratique de Marx pe
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est à chaque instant total, éternel et urgent. Je
demande
à M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment humaine, dont les
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ible et réelle dans le message évangélique. Et je
demande
maintenant aux chrétiens s’ils le savent eux-mêmes ; s’ils prouvent q
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e elle-même). Que doit lire un homme pressé, s’il
demande
aux livres autre chose que ce que peut lui offrir le conte du journal
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lui offrir le conte du journal, c’est-à-dire s’il
demande
une nourriture rapidement assimilable, mais tout de même reconstituan
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eois qui rentre chez lui après 8 heures de bureau
demande
aux livres une évasion facile hors de la médiocre existence quotidien
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mée, comme les fusées d’une fête intempestive. On
demande
des lumières qui ne soient plus seulement aveuglantes. On voudrait êt
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re réalisé, et quel besoin alors d’un deinde. Que
demander
aux hommes, sinon qu’ils vivent bien ! On se souvient de la noble rép
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réponse de ce proscrit de la Révolution auquel on
demandait
à son retour en France ce qu’il avait fait en exil : « J’ai vécu, Mon
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l’habitude de s’ignorer, qu’on est en droit de se
demander
si leur rencontre, à supposer qu’elle se produise, ne signifierait pa
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is, dit l’auteur, « je ne puis me dispenser de me
demander
du même coup : qui suis-je, moi qui questionne sur l’être ? »49 (p. 2
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nt pressent et vit au seul moment de la prière. «
Demandez
et l’on vous donnera », dit le même Dieu qui nous prédestina ! Quand
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pure et simple absurdité. Mais alors, on peut se
demander
si ceux qui refusent le christianisme échappent vraiment à la difficu
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utre, je le crains, ne répondra. Avant même de se
demander
si les Églises peuvent répondre, il faut qu’elles comprennent qu’elle
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ceux qui croient la possibilité de faire ce qu’il
demande
. Dans l’état d’impuissance apparente où se voient aujourd’hui les Égl
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à une question que je ne cesse de me poser. Vous
demandez
qui va réaliser mon plan. À vrai dire, il y a toutes raisons de redou
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des mesures conservatoires de l’Humain, quelqu’un
demanda
: — « Pourquoi voulez-vous donc que ça dure ? » Question morbide, mai
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décadence d’une société commence quand l’homme se
demande
: « Que va-t-il arriver ? » au lieu de se demander : « Que puis-je fa
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demande : « Que va-t-il arriver ? » au lieu de se
demander
: « Que puis-je faire ? » À ces deux questions, curieusement, il n’e
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évolution, c’est le même mot. Je ne vais pas vous
demander
de devenir tous des saints. (Pourtant, ce serait la solution.) Je ne